Résumé de l'Ebook:
[...] Ca va tomber ! Iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! S sors-moi de là immédiatement où je fais une crise cardiaque ! Ne crie pas, Maélys, on va se faire pincer ! Mais Alexandrine prit quand même ses craintes au sérieux. Elle essaya de la faire accélérer, lui disant que si elles restaient là elles allaient être écrasées, et après de gros efforts, elles atteignirent la caverne dont avait parlé le scaï. Elle était minuscule, ce pourquoi il était très exagéré de la désigner comme une grotte. [...]
[...] Sem haussa les épaules et se leva enfin. Les heures passaient et les filles étaient coincées dans leur appartement, ce qui ne leur déplaisait pas pour autant. Elles avaient découvert, dans la malle en bois, des draperies, des bijoux, toutes ces choses inutiles au scaïs, mais pour lesquelles ils connaissaient l'intérêt des humains. Elles faisaient passer le temps en les examinant de plus près. Elles se couvrirent de bijoux, et s'amusèrent à revêtir de belles robes de velours. Mais ce plaisir enivrant de manier pierres précieuses et somptueuses étoffes s'estompa d'heure en heure, et bientôt leur esprit fut re-concentré sur l'unique question, qui les hantait, qui revenait, inquiétante. [...]
[...] Des gens de la sorte ne parlaient pas français. De toute évidence, elle aurait été incapable de trouver ses mots, ne sachant pas quel jeu il aurait fallu jouer avec ces gens-là. Alex était consciente d'être très loin de là où elle aurait dû se trouver. Pourtant, un des êtres sembla se décider à parler. Et à sa plus grande surprise, Alexandrine put constater qu'elle avait tort. Et que cette voix, la même qui lui avait parlé, provenait de la bouche de celui qu'elle avait en face d'elle ; elle disait très clairement Bonjour. [...]
[...] Il est né il y a un demi siècle dans une grande famille d'anges. Son père, Niyos, était un marchand et un homme politique, mais il était connu aussi comme Yel Hirzô sur le continent central. Cela veut dire le riche Sa mère se nommait Eïlen, elle était du genre de femmes qui ne croient en rien sauf en leur mari, quoi : calme, douce, soumise. Niyos disait que c'était grâce à l'amour qu'elle lui portait qu'il avait réussi dans la vie, mais c'était surtout pour lui donner une importance. [...]
[...] Nous avons tout de suite compris que personne ne survivrait, dit l'elfe en elfique, et naturellement les filles ne le comprenaient pas. Ils étaient si nombreux que je me demande encore comment nous avons fait pour ne pas les voir arriver. Mais ils ont des techniques assez pointilleuses qui leur permettent de ne pas se faire repérer. Nous avons pris le bateau avec quelques autres elfes. De toute façon, c'était la seule chose à faire. Certains, ceux qui tiennent plus à leur honneur qu'à leur vie, ont continué le combat, et c'est eux qu'on pourra appeler plus tard, les vrais combattants. [...]
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