Résumé de l'Ebook:
[...] Tu refusais de croire, belle dame Que sur tes courbes, puisse naître L'amour d'une femme. Cet élan de tendresse Jaillissant de ce corps de déesse N'était pour toi Que la danse d'une diablesse Se saisissant d'une âme dans le désarroi. Tu étais celle Qu'elle appelait ma belle Tu étais celle Qu'elle appelait mienne Tu étais son double, sa tendre, sa douce moitié Son horizon, son domaine, son odyssée. Elle se souvient de toi, sa coccinelle Sa douce, son idylle, sa demoiselle. [...]
[...] Tes enfants pleurent encore et encore Toutes les larmes de leur faible corps Ils te réclament, douce mère La fin de ces guerres Qui chaque seconde Un peu plus nous dévorent. Tu saignes, te vide de tout ton sang Pleures, gémis pour la faiblesse des innocents. Tes soupirs sont le vent Tes larmes l'océan Qui rejette sur ses rivages Ces montagnes de cadavres. Ton flan souillé par ces déchets Ton sein asséché, ensanglanté, Tes enfants, ne suffit plus à nourrir ; Dans ton lit, tu les accueilles pour mourir. [...]
[...] Joies éphémères Terres insulaires Plaisirs des corps Egarés sur Eros, ce port Désir d'infini Sur un écran de songes indicibles Une femme éblouie Par la douceur de cet être inouï. Son franc-parler Une assurance inégalée, Un nuage de gaieté, Paysage à explorer. ME à BGA 27 Petite rieuse Silencieuse L'allure rêveuse, Dans ses yeux bleu azur Je plonge, petite rieuse. L'âme marieuse Débordante de bonté, Elle dévoile généreuse Son innocente beauté. Sublimissime déesse Aux courbes mirifiques, Elle exalte, tendresse Son charme magique. Sa couleur, café Élégance posée, Son allure, envoûtante Insouciante gaieté. Ce regard si bleu Sur ce voile café au lait, Métissage chaleureux D'une enfant. [...]
[...] Les signes de son bonheur d'être trahie sans vergogne ? Tout ceci pour dire que nous vivons tous, hommes et femmes dans la tromperie, dans l'illusion. Hommes et femmes, nous portons tous ce masque qui dissimule notre moi véritable. Ce monde où tout semble factice, ce monde bien souvent bâti sur un fond de mensonge, ce monde pourtant si ancré dans le réel, semble un songe. Un songe, un mensonge devrait-on dire, qui s'apparente plutôt à un cauchemar duquel on a du mal à se sortir. [...]
[...] Aveuglés par l'amour, Ses yeux se refusent aux horreurs du jour. Triste de s'être toujours sentie délaissée Elle réclame inlassablement sa liberté De ce monde, de cette vie, dépourvus de gaieté. Une existence sans coexistence, Absence d'amour, abondance de peines Bercée d'amertume et nourrie de haine. Haine contre la nature, haine contre la vie Qui impose chaque jour son pénible défi. Vie sans futur, Jonchée de ruptures, Remplie de solitude Et baignée d'incertitude. Désir de changement Enfantement de nouveauté, D'enchantement, Par cette imperturbable beauté Belle laideur, Blanche noirceur, Vie obscure, Loin des lois d'Epicure. [...]
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