Capelle Viviane, Amants d'une nuit

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Extraits

[...] Tu sais que je t'adore, grande sœur ! dit-il en me sautant au cou Chapitre I Et, c'est ainsi que je me retrouvai embarquée dans cette aventure ! Sur un magnifique yacht, appelé Le Princesse, où, sur le pont supérieur, j'étais confortablement installée, en maillot sur une chaise longue à me dorer au soleil. Après les grandes effusions des retrouvailles à l'embarquement, Laurent et Marilyne s'amusaient maintenant dans la piscine à côté de moi. Je commençais tout juste à somnoler quand j'entendis une voix : Excusez-moi de vous importuner, Mademoiselle, mais je crois, que nous n'avons pas été présentés. [...]

[...] Mais je ne peux vraiment pas le voir maintenant. Nous sommes très pressés, un train nous attend, Capitaine. expliquai-je, paniquée de voir Nick apparaître d'un moment à l'autre. Je lui serrai vivement la main et descendis de la passerelle, suivie de Laurent. De la main, j'appelai un taxi. Il mit plusieurs minutes pour arriver, et pendant tout ce temps, je ne pus résister, et me retournai vers la passerelle. Juste une dernière fois, revoir son visage, mais rien. Le son d'un klaxon me fit me retourner. [...]

[...] Eh bien, il va être servi ! J'entrepris alors de me déhancher, serrée tout contre lui, de haut en bas en suivant le rythme de la musique. Je défis mes bras de son cou et vins me placer derrière lui, fis descendre lentement ma main sur sa hanche droite, puis, mais plus rapidement, sur son sexe durci, puis sur sa hanche gauche. Pour marquer la fin du jeu, je mis mes mains sur ses fesses, qui se contractèrent à mon contact, tout en continuant, de me déhancher tout contre lui. [...]

[...] J'aimerai juste savoir l'adresse de votre mari pour l'avertir qu'il a un beau garçon. Vos parents m'ont dit de m'adresser à vous, cependant votre frère, un certain Nick, aurait voulu me le dire, mais je ne sais pour quelle raison, votre mère l'en a empêché. Je le regardai sans comprendre puis d'un seul coup, je compris. Nick s'était fait passer pour mon frère, pour pouvoir m'approcher et me parler. Je ne suis pas mariée, docteur, et son père ne veut pas de cet enfant. [...]

[...] Reviens tout de suite, ici ! dit-il en me montrant le creux de son bras que je venais de quitter. Je ne confonds 43 absolument rien. Et puis, arrête donc de parler, car pour l'instant, tu n'as dit que des bêtises ! Je vais te montrer si c'est de la compassion que je ressens pour toi ! Il s'avança vers moi et me reprit dans ses bras, et doucement, il pencha la tête et m'embrassa avec une tendresse hors du commun. [...]