Résumé de l'Ebook:
[...] Des étrilles, Elstrid ! Quand ce sera fait, venez me retrouver. J'ai à vous parler. Oui, mère. Tandis qu'Elstrid sort pour donner ses instructions, Galswinthe déroule à nouveau le message du duc À Haute Dame, Galswinthe, salut ! Que la comtesse Galswinthe se tienne prête à recevoir son suzerain, Son Excellence, le duc Guillaume, seigneur de Normandie, roi d'Angleterre et autres possessions, ce jour d'hui à none. Qu'elle soit avisée que certaines décisions seront prises concernant damoiselle Elstrid. Décidément, le duc ne change pas. [...]
[...] Mais son souvenir de truffe est trop loin pour bien en parler. Alors, il revient à ses délices, les morilles. Les morilles, ha, les morilles Ça te remplit la bouche de parfums ! Quel régal ! Tu les fais sauter dans du beurre fin et tu termines la cuisson avec une bonne main de crème ! C'est si tendre que ça fait chaud au cœur ! Ben, vrai ! Où as-tu mangé ça, pas ici toujours ? Mon frère m'en a rapporté d'un de ses voyages. Benoît ? Oui. [...]
[...] Herlind se redresse et voit sa sœur tourner le coin de la chaumière. Elle quitte son carré et va l'embrasser. Bonjour, Ermie. Comment vas-tu ? Je n'ai pas à me plaindre, et toi ? Moi non plus. Qu'est-ce qui t'amène ? Adèle. Elle va se marier Et elle est nerveuse ! Voilà ! Suis-moi ! Les deux sœurs font le tour, suivies par l'oie, et rentrent dans la maison. Tandis qu'Ermeline s'assoit, Herlind prépare les herbes apaisantes destinées à Adèle. L'oie, installée dans un coin, ne perd pas de vue sa maîtresse. [...]
[...] Il goûta la boisson chaude et la trouva parfumée mais légèrement amère. Interrogé sur l'avenir du thé, Adib se montra dubitatif. Pour lui, cela resterait une boisson de nomades. Les deux hommes burent tout en devisant. Puis, Adib lui demanda ce qui l'amenait. Bernard expliqua son projet. Il souhaitait doter sa nièce sans léser la fille de son bienfaiteur. Le philosophe le regarda avec bienveillance. Comptez-vous revenir ? À mon âge ? Adib sourit et hocha la tête. Son ami lui manquerait. Il envoya un serviteur chercher le mari de l'héritière. [...]
[...] Se tournant vers Elvina, elle lui suggère de saisir l'occasion de rendre visite à sa famille durant son absence. Grands mercis ! La mère s'ra rudement contente ! Alors, c'est dit ! Chacun se couche fort content de sa journée. Le lendemain matin, bien avant prime, Elvina noue sa part de pain blanc dans un grand mouchoir et quitte la maison. Elle le destine à sa mère qui n'a guère l'occasion d'en manger. Pour arriver plus vite, elle emporte avec elle son déjeuner : des petits oignons blancs, du pain bis et du fromage. [...]
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