Résumé de l'Ebook:
[...] Ne plus se laisser entraîner par une fenêtre publicitaire rebelle ayant résisté à l'antivirus, au pare-feu et au contrôle parental. Là, c'était du sérieux. Il voulait trouver une solution à un problème qui le touchait au plus haut point. Cela l'intriguait aussi et sa vie s'en trouvait même chamboulée. Papa était au travail au lycée et maman était partie avec une copine faire du shopping. La tranquillité 26 semblait au rendez-vous lorsqu'au moment de se connecter, on sonna à la porte. Zut ! Allez, je ne réponds pas et puis c'est tout ! [...]
[...] Il avait compris de quoi ces lettres causaient. La première guerre mondiale demeurait un de ses sujets d'Histoire préférés. Très vite, avec avidité, il prit la deuxième. Le 20 février 1916 Ma chère et tendre La situation ne s'arrange pas. Mon camarade Mauras est mort ce matin dans mes bras. Il avait un vilain éclat d'obus fiché dans un poumon. Son agonie a été terrible. J'en pleure en t'écrivant ces mots. Ce sont les meilleurs qui partent Ma jambe ne me fait presque plus souffrir. [...]
[...] Surtout, ne change pas de direction. Reste sur la bonne voie. Et puis fais attention à la moto ! William s'était levé. C'était complètement fou. C'en était trop pour lui. Il descendit les escaliers quatre à quatre sans oser chercher sa mère. Qui sait ce qu'aurait encore inventé ce maudit Jimmy. Pourquoi s'acharnait-il ainsi contre lui ? Surtout après avoir voulu le rassurer (il l'avait bien mentionné lors du rendez-vous sousterre tout cela commençait à ne plus tenir debout. Comme lui d'ailleurs. [...]
[...] Je n'aurais pas dû De quoi ? Fouiller un peu là-dedans ? Oh ! Cela ne fait rien. C'est déjà bien le bazar. Au contraire, cela me procure plutôt du plaisir de voir quelqu'un, qui plus est 104 mon petit-fils, s'intéresser à tout ça. Fais voir ce que tu as déniché. Oh, juste quelques lettres Mmmm, oui, ce n'est pas n'importe quelles lettres, tu sais ? Si j'ai bien compris ce sont des lettres de soldats français durant la première guerre mondiale, non ? [...]
[...] A la fin du cours, Jeken le prit à part : Dîtes-moi Lony, vous n'êtes pas malade au moins ? Non monsieur. Vous sembliez si absent quand je vous évoquais cette scène de chasse de tigres à dents de sabre ! ? Il n'osait croire qu'il disait juste. Oui, c'est cela, au Pléistocène, en Amérique il y a plus de ans ! Mais je vois que vous avez tout de même retenu quelques éléments de mon cours. Me voilà un peu rassuré ! Tu parles, Charles ! [...]
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