Résumé de l'Ebook:
[...] Il y a bien d'autres passages analogues dans la Bible. Nous souffrons depuis que nous avons abandonné nos Dieux et nos coutumes. Je suis horrifié lorsque je vais au 51 restaurant avec ma famille au pays et que je ne trouve pas la bonne cuisine africaine de ma jeunesse ! C'est dommage d'en arriver là ! Je me souviens lorsque j'étais jeune au Mali, qui était à cette époque le Soudan Français, il y avait tous les animaux sauvages : lions, panthères, gazelles, éléphants, gros serpents, buffles, antilopes, singes, et toutes sortes d'oiseaux et bien d'autres. [...]
[...] C'est ta mère qui atout manœuvré, et c'est elle qui doit en endosser la responsabilité ! J'étais tellement furieux que je ne lui ai pas adressé un mot. Quand ma mère m'a vu avec une drôle de tête, elle me dit : Tu es enfin au courant Vous, les femmes, en fin de compte, vous n'avez que ce que vous méritez, ici en Afrique. On essaie de vous défendre, mais vous êtes responsables de tout ce qui vous arrive ! [...]
[...] J'ai apprit que ces gens ne disent pas de la vérité ! J'étais convoqué le 23 Mai 1995, rapporté, le 24 Décembre 1996, parce que l'avocat de mon adversaire n'était pas disponible, sans me dire je suis allé me présenté comme il était convenu, après avoir attendu deux heures j'étais voir l'accueil qui m'avait dit qu'ils ne seront pas là car l'avocat avait autres choses plus importante à faire. Le vingt quatre décembre, c'était moi qui avais endossé la responsabilité par la vis président Monsieur Rougeot du tribunal de grande instance de Nanterre sous prétexte que je ne m'étais pas présenté. [...]
[...] Un des clients nous a demandé si on le connaissait depuis longtemps ce à quoi j'ai répondu que cela ne faisait pas même trois jours. Faites gaffe ! C'est un fumeur de drogue ! Il va vous voler, puis vous larguer dés qu'il le pourra ! C'est un drogué, ça se voit ! Mais c'est le patron de notre hôtel qui nous l'a recommandé ! Ils travaillent ensemble ! Non seulement c'est un voleur mais aussi un trafiquant de drogue ! Depuis cet instant je pris la décision de nous débarrasser de lui dès notre arrivée à Casablanca ! [...]
[...] Moi, je me sentais très bien, j'étais dans mon élément, alors que je voyais les visages de gens si peu joyeux ! Avant, la cohue ne me faisait pas trop plaisir, j'avais plutôt honte des gens, je me sentais comprimé et intimidé, mais ce jour-là, j'étais confortablement bien dans ma tête. J'ai pris le boulevard Saint-Germain puis la rue SaintAndré-des-Arts pour regagner la place Saint-Michel. Je me suis arrêté près de la fontaine où étaient justement assis des hippies mais ce n'était pas mes amis. Je venais d'acheter un paquet de cigarettes que je leur offris en souvenir du passé. [...]
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