Résumé de l'Ebook:
[...] Cela me fait moins de pensées à chasser. 93 Samedi octobre 2004 7 h 59 Je me suis réveillée à cinq heures trente et depuis impossible de me recoucher. Hier, j'ai dormi toute la journée. Je n'ai pas été voir ma mère. Elle doit galérer avec son bras dans le plâtre. Jeudi, deux femmes sont venues la voir. Madame D. parce que Slimane était sorti de prison, l'autre, Madame B., parce qu'elle avait appris que ma mère avait un bras cassé. [...]
[...] 83 F : sortez vos yeux. H : vous m'agressez. F : cela vous apprendra à blasphémer. H : c'est vous qui avez blasphémé ! F : je vous interrogeais sans détour. H : faites attention, l'inquisition est de retour. F : l'éternel retour, que c'est émouvant. H : sables mouvants. J'arrête de sortir mes yeux. Ils vont tomber par terre et je ne verrai plus rien. Aussi, je les range. F : vous faites bien de baiser les paupières. [...]
[...] lança Yamina. Non dit la mère. Donne-moi vingt francs. Tiens. Yamina lui tendit deux pièces de dix francs en se disant que sa mère était vraiment une bonne poire. La gitane partit. Elle continua la visite des popotes. Elle alla frapper chez une autre arabe. La femme était seule avec sa petite fille La proie idéale pour cette chasseresse. La peur est l'appât de ces personnes. La gitane dit à la femme qu'il allait arriver un malheur à sa fille et pour conjurer le sort, il fallait qu'elle, la gitane, elle fasse des incantations sur un bijou en or. [...]
[...] H : et quel est votre fort ? F : pas Fort Alamo. C'est trop loin d'ici et puis ils y sont tous restés. H : qui ça ? F : les Blancs ! 64 H : vous n'aimez pas les blancs d'œufs ? F : non, j'ai une prédilection pour les jaunes. H : Chinois, Japonais, Cambodgiens F : les bouddhistes. H : à Istes, il y a des bouts ? Des bouts de quoi ? F : des bouts de paroles. [...]
[...] F : c'est vous qui la traitez de vile ! 65 Dimanche octobre 2004 20 h 23 Hier, j'ai reçu une lettre que je n'attendais pas. Encore un refus d'un éditeur. Vu ce qu'il me dit, j'ai écrit aujourd'hui, après avoir cherché son adresse sur Internet, une lettre à Jean-Jacques GOLDMAN en y joignant une disquette de mon recueil de poésie. Monsieur Goldman, Je vous prie de trouver ci-joint un recueil de poésie : Les eaux de lumière Je l'ai envoyé à plusieurs éditeurs qui me l'ont retourné. [...]
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