Vocation littéraire, écrivain, écrire, écriture, reconnaissance, page blanche, égoïste, ides, littérature
On pourrait partir du principe que si nous sommes tous là sur Terre, ce n'est pas un hasard. On pourrait dire que nous avons une mission à accomplir. Cette mission pourrait être une vocation. En effet, on dit d'une personne que c'est sa vocation quand elle réussit ce qu'elle fait. On peut traduire le mot vocation comme un don inné qu'on possède dès sa naissance. Ici, le corpus nous montre comment des écrivains ont su qu'écrire était leur vocation.
[...] Nous avons tout un champ lexical du devoir de français : devoir, ma copie, appréciation, limites ». On constate aussi grâce à ce texte que l'appréciation des parents est importante, mais que celle du corps professoral est aussi importante. On pourrait même dire qu'elle est plus importante comme on peut le voir dans le texte de Romain Gary avec « l'obstination avec laquelle mes professeurs de sciences ( ) l'effet d'une ignorance crasse de leur II- La reconnaissance d'un écrivain en tant que tel L'écrivain se reconnaît lui-même comme étant un écrivain. [...]
[...] C'est vrai prendre un pseudonyme permet de se cacher, mais ne permet pas de se livrer complètement. On peut montrer qui est vraiment cet auteur du livre, mais on ne montrera jamais qui est la personne qu'on lit dans ces pages. Peur de ne plus écrire (angoisse) Enfin, on voit avec Proust par exemple, la peur ou plutôt l'angoisse que les mots ne viennent plus nous déranger. C'est ainsi qu'il explique l'urgence d'écrire dans n'importe quel endroit comme une voiture. Conclusion Être égoïste. [...]
[...] Rimbaud lui ne met pas de noms sur ces souffrances, car pour lui elles dont partir du métier d'écrivain. C'est notre vocation alors on prend tout. Il dit juste qu'il “faut être fort”. Incompris par les autres Il faut être fort, car la solution de faciliter serait de renier qui nous sommes. Au lieu, de cela, on se bat. On essaye de se faire comprendre des autres. En effet, l'idée principale qui ressort de ces quatre textes est que les écrivains sont des incompris qui sont souvent “ridiculiser”. [...]
[...] Rimbaud, nous explique dans sa lettre que le plus dur pour un écrivain qu'il soit poète ou autres c'est d'être reconnu : travaille à me rendre voyant”. En effet, c'est bien d'écrire. Mais écrire pour Pour soi, en premier pour se soulager comme on peut le voir avec Proust : “soulager ma conscience”. Mais on écrit surtout pour être lu. On veut que les autres sachent nos bonheurs, mais surtout nos souffrances. III- Les souffrances d'un écrivain Être malade en permanence. [...]
[...] Alors que non, on ne peut pas être écrivain du jour au lendemain : c'est qu'on a depuis toujours. Alors oui bien écrire ça s'apprend, mais écrivain ça ne s'apprend c'est ancré en nous. L'écrivain est reconnu par ses proches comme tel. Mais le problème c'est qu'un écrivain a du mal à se reconnaître lui-même comme écrivain, car c'est souvent quelqu'un d'incompris. Il a besoin de soutien surtout familial comme on peut le voir avec Proust où ses parents et son cocher qui sont ses proches ne comprennent pas. [...]
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