La lecture d'une oeuvre de fantasy provoque les mêmes sensations que la lecture d'une oeuvre mythologique telle que l'Odyssée d'Homère. En effet les peuples, les légendes, les personnages, et les langues imaginaires semblent avoir réellement existé. Avant d'analyser l'oeuvre de Tolkien, il est indispensable de définir la fantasy. Le Moyen-âge est l'un des piliers de la littérature fantasy : les civilisations des mondes imaginaires (tous inventés par les auteurs) semblent être proches du niveau d'avancement et du système social du Moyen-âge. Un autre point important est la présence de créatures fantastiques issues des mythes et légendes, telles que les dragons, les fées, les elfes, ou encore les licornes ; et de magie. Enfin tous les héros fantasy, qui sont souvent des personnes dont on ne soupçonnerait pas qu'elles puissent avoir de l'importance, doivent accomplir une quête afin de sauver le monde sans pour autant tomber dans le stéréotype de la société manichéenne. Cependant, il ne faut pas confondre fantasy et science fiction, car dans la littérature fantasy on nous demande seulement d'accepter le monde tel qu'il est, et de l'observer. Tolkien n'a pas inventé la fantasy mais le succès de ses oeuvres a donné une impulsion décisive et une légitimité à ce genre peu apprécié avant les années cinquante, période à laquelle la trilogie du Seigneur des anneaux fut publiée (avant cette date, la fantasy était alors perçue comme une littérature infantile). Ce livre a tout d'abord été tiré à trois mille exemplaires, mais devant la demande croissante, les éditeurs se sont vus obligés d'augmenter le tirage. Le Seigneur des anneaux est actuellement le livre le plus lu au monde après la Bible. Les gens se le sont appropriés de manière très différente et paradoxale : d'un côté, les néo-nazis ont vu dans ce livre une apologie du nazisme à cause des elfes blonds combattant les noirs gobelins au nom de la supériorité de leur race ; d'un autre côté dans les années soixante-dix les hippies se sont reconnus dans les peuples libres des Terres du milieu, tous écologistes car respectant la nature et leur environnement. Nous pouvons cependant affirmer que ce livre n'est en rien une apologie du nazisme car tous les peuples libres, quelque soient leur race et leurs différences, se sont associés (...)
[...] Avant d'analyser l'œuvre de Tolkien, il est indispensable de définir la fantasy. Le Moyen-âge est l'un des piliers de la littérature fantasy : les civilisations des mondes imaginaires (tous inventés par les auteurs) semblent être proches du niveau d'avancement et du système social du Moyen-âge. Un autre point important est la présence de créatures fantastiques issues des mythes et légendes, telles que les dragons, les fées, les elfes, ou encore les licornes ; et de magie. Enfin tous les héros fantasy, qui sont souvent des personnes dont on ne soupçonnerait pas qu'elles puissent avoir de l'importance, doivent accomplir une quête afin de sauver le monde sans pour autant tomber dans le stéréotype de la société manichéenne. [...]
[...] Le plus puissant des vingt alla a Sauron lui-même. Selon le mythe tibétain, c'est Gesar de Ling qui créa les anneaux d'or (Gesar) et de fer (Kurbar). Comme Sauron, c'est un forgeron magicien, et ses anneaux lui permettent à lui aussi de régner sur le monde. L'anneau tibétain le plus puissant et l'anneau unique de Sauron seront détruits dans la lave d'un volcan, the Crack of Doom le Mont du Destin chez Tolkien, afin de libérer le monde de leur emprise maléfique. [...]
[...] Tout d'abord il y a trois branches de hobbits : les pieds velus, les pâles et les forts. Ensuite le prince elfe Fëanor créa les trois joyaux silmarils contenant la lumière vivante des arbres des Valars (ce sont ces arbres, qui avant l'invention du soleil, éclairaient le monde). Puis on note que trois races elfes entreprirent le voyage de la Terre de milieu vers les Terres Immortelles. De plus, trois anneaux de pouvoir furent donnés aux elfes, comme le précise le prologue du Seigneur des anneaux : «Three rings for the elven kings under the sky» (“Trois anneaux pour les seigneurs elfes sous le Dans la culture Judéo-chrétienne est considéré comme le chiffre le plus sacré. [...]
[...] Il dédie Le Seigneur des anneaux à l'Angleterre : " To England : To my country Il a assisté par la suite à la dégradation de ce paysage qu'il chérissait, par la révolution industrielle et les nouvelles technologies. Il haïssait les usines et particulièrement le travail à la chaîne qu'il jugeait inhumain. Dans le livre, Saroumane (magicien maléfique) créé des " Uruk-hai croisement entre les orques et les gobelins, à la chaîne dans une grotte qui a la même apparence que les fours des usines de la fin du XXe siècle. On peut aussi remarquer que ce magicien, pour parvenir a ses fins, déforeste toute une région. Or il faut savoir que Tolkien était un écologiste convaincu. [...]
[...] Veux-tu prendre alors celui de Turin Turambar, veux-tu me tuer sans attendre ? Et une voix froide lui répondit, venue de l'épée : -Oui, je boirais ton sang avec joie pour oublier le sang de Beleg mon maître, et le sang de Brandir, tué injustement. Je te tuerai promptement. Turin posa la poignée sur le sol et se jeta sur la pointe. L'épée noire prit sa vie. Dans le Kalevala, Kullervo, après avoir abusé de sa sœur, a perdu toute sa famille. [...]
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