Les romans historiques, autobiographiques m'attirent plus que les oeuvres de fiction car je préfère acquérir des connaissances réelles sur les différentes civilisations dans le monde, les coutumes, l'histoire de tout un peuple plutôt que de l'imaginer. En l'occurrence j'aime beaucoup l'histoire du peuple chinois que je découvre à travers les romans d'un de mes auteurs préféré l'écrivain Hollandais Robert Van Gulik. Je pense qu'en matière de romans tirés de faits réels, il en est un des plus appropriés car en effet ses romans policiers historiques s'inscrivent dans cette catégorie, ils sont loin de n'être que pure imagination (...)
[...] Je pense qu'à travers certains romans réalistes, je peux avoir une autre liberté d'imagination comme dans certaines autobiographies de personnages auxquels je peux m'identifier comme par exemple un astronaute décrivant son voyage sur la lune. Je peux juste m'imaginer ce qu'il a pu voir et vivre de cette expérience mais je ne saurai jamais quelles sont les émotions produites lorsque l'on se trouve sur la lune. [...]
[...] La table et les quatre fauteuils à hauts dossiers étaient en santal sculpté, de teinte naturelle, et parfaitement poli . " Suivre le juge Ti c'est découvrir la Chine des T'ang, sa civilisation et la vie quotidienne des différents milieux. Cette façon d'écrire nous rappelle fortement celle de Zola dans l'Assommoir même si Zola apporte plus de réflexion, il décrit lui aussi à sa façon la société française .Les œuvres de faits réels existent sous beaucoup de formes, pour la réalité qui revêt peu à peu une dimension onirique, le théâtre classique voire la tragi-comédie. [...]
[...] INTRODUCTION Les romans appuyés sur une solide documentation nous permettent de nous renseigner et d'apprendre beaucoup de choses fidèles à la réalité grâce aux descriptions faites par les auteurs. Que ce soit des récits historiques ou contemporains, ils font partie de notre vie et donnent des réponses aux questions que l'on peut se poser sur notre passé et sur notre existence au quotidien, mais aussi sur d'autres civilisations, d'autres coutumes, d'autres pays. Certes les œuvres fictives nous transportent aussi dans d'autres mondes mais qui sont imaginaires et tellement éloigné de la réalité. [...]
[...] L'auteur applique son érudition et sa connaissance de la chine dans ses descriptions comme par exemple dans son roman intitulé "Le pavillon rouge" dans cette phrase : "Le juge Ti se hâta de chercher dans sa manche* une poignée de sapèques", on apprend qu'à l'époque du juge Ti, les vêtements chinois étaient dépourvus de poche, aussi plaçait-on dans sa manche les menus objets qu'on désirait emporter avec soi. Le personnage du juge Ti lui-même a réellement existé, c'était un magistrat du VIIe siècle (630-700), sur lequel existe une abondante documentation. [...]
[...] Les descriptions faites par Zola sont documentées, chaque section de l'ensemble décrit un pan de la société à travers une série de tableaux. CONCLUSION En d'autres termes, je préfère les romans appuyés sur de solides connaissances ou sur du vécu aux œuvres de pure imagination même si ces derniers nous amènent à avoir une réflexion sur des métiers, des faits, des objets qui n'existent pas forcément et donc ne nous apportent aucun savoir pouvant nous servir dans la vie, même si ces romans peuvent effectivement développer notre imagination. [...]
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