Flaubert, Maupassant, Dostoïesky, Dickens, Egard Allan Poe, Balzac, âme humaine
La filiation Flaubert et Maupassant :
Tous les deux sont dans la même filiation, le même style d'écriture.
Les personnages de Flaubert sont parfois proche de ceux de Maupassant (souvent des bourgeois égarés).
Un de mes romans préféré "madame Bovary" à gardé toute sa saveur, au dela du temps passé....Emma à la recherche de cette pureté absolu (quel croit asouvir en trompant son mari) ne réussi pas à guerrir son ennui (on retrouve bien sur cela dans notre époque consumériste).
Dans l'ouvrage de Flaubert "Bouvard et Pécuchet" ses deux "pseudos scientifiques" expérimentant nombre d'expériences souvent voué à l'échec.
[...] Un amour qui ne se rencontre jamais (sauf à la fin) . Je ne pourrais pas évoquer tous les ouvrages de ces 4 auteurs tant leurs oeuvres est riche mais je pense avoir montré à quelle point ils faut les lirent. CONCLUSION On pourra trouver injuste que je n'ai pas évoqué d'autres auteurs de ce XIX ème siècle, ce n'est pas leur faire injure . Mais pour moi ces 4 là sont tellement puissant et tellement ancré dans leur époque que je voulais vraiment leur rendre hommage. [...]
[...] Maupassant et Flaubert ont aussi voyagés et cela ce ressent l'amour de l'orient (dans "salammbô") on retrouve le charme de l'orient (que l'on trouve aussi chez Maupassant) on sent que tous les deux l'ont aimés. Deux écrivains au style unique eux aussi Chez Dostoïesky j'ai tous aimé dans ses livres . Dans "le joueur" il à finement joué sur la psychologie du joueur (qui sera encore à notre époque actuelle tout à fait valable) cette folié à ne pas pouvoir arreter cette addiction, mais écrit avec un tel talent littérraire. Dans "crimes et chatiments" il montre que le bien peut se transformer en mal . [...]
[...] Les personnages de Flaubert sont parfois proche de ceux de Maupassant (souvent des bourgeois égarés). Un de mes romans préféré "madame Bovary" à gardé toute sa saveur, au dela du temps passé . Emma à la recherche de cette pureté absolu (quel croit asouvir en trompant son mari) ne réussi pas à guerrir son ennui (on retrouve bien sur cela dans notre époque consumériste). Dans l'ouvrage de Flaubert "Bouvard et Pécuchet" ses deux "pseudos scientifiques" expérimentant nombre d'expériences souvent voué à l'échec. [...]
[...] Ce jeune orphelin qui passe de l'orphelinat, à la rue . Et de la rue à la bonne société toujours avec cet aisance. Qui mieux que Dickens à su décrire aussi la condition ouvrière de l'époque misérable mais en même temps toujours fier. Dans "les aventures de monsieur Pickwick" cette espèce de confrérie un peu hautaine faisant sans arrêt des notes et des expériences pas toujours concluante (qui n'est pas sans rappelé l'oeuvre de Flaubert "Bouvard et Pécuchet" on ne s'ennui jamais dans ses ouvrages. [...]
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