Voici une dissertation de deux pages qui porte sur la poésie et s'appuie sur plusieurs poèmes de différentes.
Problématique: "la poésie nous éloigne-t-elle de la réalité ?"
Plan: I- La poésie, un art pour fuir le monde réel ; II- la poésie peut aussi être liée à la réalité
[...] Aussi, en raison de sa forme flexible, le poète se sent encore plus libre en poésie que dans n'importe quel autre art littéraire. Toutefois, la poésie est souvent rattacher à la réalité. C'est d'ailleurs le lieu où les poètes peuvent se confier et y dévoiler les pensées et sentiments les plus profonds. D'ailleurs, il est tout à fait commun à ce qu'un poète consacre ses vers à la dénonciation d'injustice sociales ou d'une situation qui ne lui plaît pas. Ce qui nous mène à nous demander est-ce que la poésie, même imaginaire, porte-t-elle toujours une critique de la société ? [...]
[...] Toutefois, il existe tant de poèmes portant sur la vie ou encore du quotidien, qu'on ne pourrait pas dire que la poésie n'ai pas rattaché au monde réel. Un tel sujet nous pousse à nous demander si la poésie nous éloigne-t-elle de la réalité ? Pour cela nous étudierons d'abord la poésie comme un art permettant de fuir le monde réel ; puis dans un second temps, nous nous intéresseront sur le fait que la poésie peut aussi être liée à la réalité. Tout d'abord, la poésie permet bien souvent aux poètes de quitter la réalité et de libérer son esprit aux rêves. [...]
[...] En effet, il joue sur la curiosité des lecteurs, qui n'en peuvent plus d'une guerre qui dure longtemps, serai intéressés de connaître en quoi est-ce que ce la guerre peut plaire. Ainsi, la poésie est aussi un moyen de motiver et d'encourager que ce soit le poète ou les lecteurs, et de les influencer dans leur choix de vie, opinion politique ou autre. Pour conclure, nous avons vu que la poésie permettait aux poètes de se s'évader du monde réel et de laisser libre recoure à leurs imaginations. [...]
[...] Ces poèmes sont écrit de sorte à évoquer le rêve ou à en parler. Le poème « A une femme » écrit par Victor Hugo, dans son recueil Les feuilles d'automne est un poème onirique dans lequel le poète s'imagine être un roi, puis Dieu. Le premier vers étant « Enfant Si j'étais roi, je donnerais l'empire », le poète utilise le conditionnel présent pour exprimer les décisions qu'il aurait pris s'il possédait la place d'un roi. Victor Hugo ne l'ayant jamais été, il arrive pourtant à s'installer sur un trône et à parler comme si toute sa parole pouvait être exécutée. [...]
[...] Enfin, la poésie est l'art le plus libre de la littérature. En effet, contrairement au roman par exemple, le poète peut se contenter de très peu d'écriture, le but étant pour l'auteur de pouvoir exprimer sa pensée. Cependant, si le poète le souhaite, il peut choisir de versifier son poème. Long ou court, versifié ou en prose, la poésie n'a pas de forme fixe. Par ailleurs, on retrouve aussi des calligrammes, qui sont des poèmes dont la disposition des vers forme un dessin. [...]
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