Littérature, sensibilité, limites du développement, raison, émotions, Pacte autobiographique, Stéphane Édouard, discipline artistique, fiction, réalité, Le Maître et Marguerite, haut potentiel émotionnel, L'étranger, Bille en tête, développement émotionnel, Jean-Jacques Rousseau
La littérature est une discipline artistique qui est caractérisée par plusieurs genres comme le roman, la poésie ou encore l'autobiographie. Qu'elle soit à but informatif, romanesque ou encore théâtral, elle permet au lecteur de découvrir pendant un moment un univers dans l'âme auquel il est extérieur et qui lui suscite des émotions. Les émotions sont des « ressentis » caractérisés par des stades/états affectifs qui peuvent se faire connaître par des troubles physiques comme les pleurs, le mal de ventre... Les émotions atteignent l'homme intrinsèque en fonction de sa capacité à les ressentir, c'est-à-dire en fonction de sa sensibilité. La sensibilité est une faculté humaine et animale qui se distingue de la raison. L'individu, en effet, ressent les choses par ses sens, mais par un travail et/ou une introspection, l'homme peut développer cette sensibilité et ses émotions qui l'accompagnent, même si cela n'est finalement pas inné, mais est le résultat d'une acquisition.
[...] On ressent la similarité entre nous et le personnage, on se reconnaît en lui, un lien se crée, une connexion s'installe. L'autobiographie est également un genre où l'on peut s'identifier au protagoniste. Rousseau parle du Pacte autobiographique, effectué tacitement entre l'auteur et le lecteur. Ce pacte consiste à établir une relation de confiance, où le lecteur s'engage à croire sur parole l'auteur et à vivre le récit de sa vie au même titre que ce dernier. Cela nous force à nous mettre dans la peau du personnage, et donc, à ressentir les mêmes choses que lui. [...]
[...] fait partie des disciplines qui permettent de développer notre sensibilité. Il recommande même aux hyposensisbles, c'est-à-dire, aux personnes ayant une sensibilité « sous-développé », de s'adonner à cette pratique pour justement, s'élever dans leurs émotions. Les émotions - de fait, la sensibilité - sont innées par les sens, mais reste notre choix de décider si nous voulons les développer. La sensibilité, c'est le fait de remarquer des choses, de ressentir des choses presque implicite : dans une musique, le ton chanté, les notes, les paroles sont des sources d'émotions explicites. [...]
[...] La littérature peut-elle développer notre sensibilité ? La littérature est une discipline artistique qui est caractérisée par plusieurs genre comme le roman, la poésie ou encore l'autobiographie. Qu'elle soit a but informative, romanesque ou encore théâtrale, elle permet au lecteur de découvrir pendant un moment, un univers dans l'âme quel il est extérieur, et qui lui suscite des émotions. Les émotions sont des « ressentis » caractérisés par des stades/états affectifs qui peuvent se faire connaître par des troubles physique comme les pleurs, le mal de ventre . [...]
[...] Le développement connait des limites La littérature permet de transmettre un message ( ex : Le Maître et Marguerite : histoire globale + satire du régime communiste). À traversé des figures de styles par exemple, elle transmet une émotion où permet de comprendre un sous-entendu. De fait, il faut connaître et savoir reconnaître les figures de styles et pour cela, il n'est pas contingent de faire preuve de réflexion et donc, d'intelligence. Cependant, faudrait-il être intelligent pour développer notre sensibilité ? En réalité, il y de ce que nous pouvons en déduire, une corrélation entre QI et haut potentiel émotionnel ( HPE). [...]
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