La littérature française apparaît vraiment durant le Moyen-Âge avec la littérature médiévale. Le roman se développe en France, vers 1200. Il s'agit alors de traductions de textes latins et de manuscrits faites par des clercs. On trouve aussi des chroniques. Les romans de chevalerie, littérature courtoise et chansons de geste se multiplient sous le règne d'Aliénor d'Aquitaine et de Henri Plantagenêt. Les plus connus sont : La chanson de Roland, Perceval, Lancelot ou les romans arthuriens. Il y a aussi les épopées. Avec le développement de l'imprimerie, on publie des pièces antiques, des romans en vers et en prose (Antigone, l'Enéide, la Thébaïde...) (...)
[...] Ce mouvement littéraire apparait en France vers 1870 en réaction au naturalisme (-réalisme). Les symbolistes ne décrivent pas fidèlement l'objet, contrairement aux réalistes-naturalistes ils ne veulent pas une représentation réaliste, mais recherchent une impression, une sensation, qui privilégie l'expression des états d'âmes. Les Symbolistes s'inspirent des œuvres littéraires du passé (mythologies, légendes . ) mais aussi des œuvres contemporaines. Ils cherchent à développer l'imagination, et utilisent donc un grand nombre d'images et d'analogies pour évoquer le monde. Leur vision symbolique du monde fait alors apparaitre beaucoup de mystère et plonge le spectateur dans l'inconnu. [...]
[...] Plusieurs mouvements se succèdent. Le surréalisme naît de l'expérience de la Première Guerre Mondiale : suite au traumatisme de la guerre les auteurs mettent en avant le pouvoir de l'imagination et la puissance du rêve. Ce mouvement est représenté par Aragon, mais aussi par le chef de file André Breton qui publie Le Manifeste du surréalisme en 1924. Ce courant est succédé par l'Absurde où il y a une perte de tout repère logique. Ce qui domine dans l'Absurde c'est le sentiment d'être déplacé du monde, sentiment mis en avant par le tragique et la dérision. [...]
[...] Ce courant met en avant la primauté de la pensée rationnelle. Les connaissances proviennent d'abord de l'observation, puis de l'expérimentation avant de d'être vérifiées. L'esprit critique se développe. Cette méthode s'applique surtout aux sciences comme la physique et la médecine mais aussi à d'autres domaines. Parmi les encyclopédistes, on retrouve : Voltaire (1694-1778), Montesquieu (1689-1755), Rousseau (1717- 1778) et Diderot (1713-1784). Le mouvement des Lumières critique les préjugés, lutte contre le fanatisme, les superstitions, le surnaturel, elle se bat contre la métaphysique et les dogmes religieux. [...]
[...] Le romantisme se caractérise par une rupture avec les règles, et une réaction contre l'esthétique classique (contre la régularité classique). Ce mouvement propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, notamment grâce aux thèmes de la nature et du sentiment amoureux. La sensibilité et l'imagination du romantisme s'exercent dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. Chateaubriand est considéré comme le père fondateur du romantisme, en créant le premier personnage romantique de la littérature française dans son œuvre René. Puis c'est Victor Hugo (Odes et Ballades, 1826) qui définit clairement ce mouvement. [...]
[...] La littérature française. Introduction. La littérature française apparaît vraiment durant le Moyen-âge avec la littérature médiévale. Le roman se développe en France, vers 1200. Il s'agit alors de traductions de textes latins et de manuscrits faites par des clercs. On trouve aussi des chroniques. Les romans de chevalerie, littérature courtoise et chansons de geste se multiplient sous le règne d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri Plantagenêt. Les plus connus sont : La chanson de Roland, Perceval, Lancelot ou les romans arthuriens. Il y a aussi les épopées. [...]
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