« Il suffit d'observer un lecteur de romans, ou de s'observer soi-même, pour se rendre compte que l'attraction et la certitude d'une fin conditionnent sérieusement le fait de lire des romans. Qui n'a éprouvé qu'on est généralement moins enclin à lire un récit dont on connaît déjà le dénouement, ou dont on sait qu'il ne se dénoue pas parce qu'il est inachevé ? »
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