L'Intrus 1891, Maurice Maeterlinck, temps modernes, chambre mortuaire, silence réprobateur, scène courte, aïeul, Ursule, Geneviève, Gertrude, soeur de charité, servante
Les trois filles proposent à leur grand-père de s'asseoir près de la lampe qui trouve qu'il ne fait pas très clair. Le père s'interroge alors s'il faut rester dans la chambre ou aller sur la terrasse. L'oncle souhaite rester dans la chambre, car les nuits sont humides et froides ce que l'aïeul approuve, car il s'inquiète. Le père dit qu'il n'y a pas de raison, car elle est sauvée ce que dément l'aïeul qui affirme avoir entendu sa voix et qu'elle n'allait pas bien. Et ce malgré l'avis que les médecins leur ont donné.
[...] Minuit sonne et au dernier coup, certains entendent quelqu'un se lever, l'aïeul questionne, mais pourtant personne ne s'est levé. L'oncle demande qu'on allume la lumière. À ce moment-là, un cri retentit dans la chambre du bébé à droite qui n'avait jamais crié. Puis ils entendent courir dans la chambre de gauche, la porte s'ouvre et la sœur de charité annonce la mort de la femme et tous rentrent dans la chambre mortuaire en silence. L'aïeul est laissé seul se lève et s'agite inquiet. [...]
[...] L'aïeul demande alors en montrant la porte de droite s'il ne peut pas entendre ce que le père dément toujours, car il suppose qu'il dort. L'aïeul demande s'il ne faut pas aller le voir ce que confirme l'oncle qui s'inquiète, car depuis qu'il est né il y a plusieurs semaines il ne crie pas et remue à peine comme un enfant de cire. L'aïeul est persuadé qu'il sera sourd et peut être muet à cause du mariage consanguin ce qui provoque un silence réprobateur. [...]
[...] C'est aussi l'aînée de la famille donc de l'oncle. Les trois filles reviennent en disant que le bébé dort profondément alors l'oncle questionne sur ce qu'ils vont faire en attendant leur sœur. Ursule est à la fenêtre et ne voit personne venir pourtant les animaux fuient, les rossignols ne chantent plus. Ursule croit que quelqu'un est entré dans le jardin, mais elle ne voit personne. Ils n'entendent rien qu'un silence de mort, ils ont du mal à fermer la porte, tout à coup un bruit de faux qu'on aiguise se fait entendre de dehors. [...]
[...] Le médecin ne pourra venir qu'à minuit, tout à coup sonne 11h. l'aïeul est persuadé que quelqu'un c'est assis à la table et que sa fille va au plus mal, bien que les autres lui disent le contraire. Pour être sûr il demande combien ils sont à la table, mais ils ne sont que 6 tous répondent : Paul, Olivier, Geneviève, Gertrude, Ursule et l'aïeul. L'aïeul est inquiet pour sa fille et souhaiterait la voir. À ce moment-là, la lampe s'éteint. [...]
[...] Le père dit qu'il n'y a pas de raison, car elle est sauvée ce que dément l'aïeul qui affirme avoir entendu sa voix et qu'elle n'allait pas bien. Et ce malgré l'avis que les médecins leur ont donné. L'oncle affirme qu'elle avait bonne mine l'après-midi même et qu'à présent elle se repose donc ils peuvent profiter de cette première bonne soirée pour se reposer et rire sans avoir peur. Ce que le père affirme, car c'est la première fois qu'il se sent chez lui depuis l'accouchement. [...]
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