littérature, critique littéraire, Balzac, paralittérature, Poétique, Aristote, art d'écrire
Notre époque serait, sans doute, celle de la vulgarisation de la lecture. On ne pourrait passer une journée sans lire, que ce soit une affiche publicitaire, un article de presse ou un texte : scientifique ou littéraire. Ce dernier retient, en effet, notre attention pour son expansion majeure. Après qu'il a été réservé à une élite bien restreinte de la société, nous remarquons sa grande diffusion due à l'énorme nombre d'œuvres imprimées chaque année. D'ailleurs, en France, par exemple, on compte plus d'écrivains que de lecteurs ! Donc, les œuvres se multiplient et les choix varient. Entre littérature et paralittérature, le lectorat se retrouve devant un dilemme. Qu'est ce qu'il faut choisir ?
[...] Les Mots, Paris, Folio (1964). Todorov.T. La notion de la littérature et autres essais , Paris, le Seuil (1987). est un philosophe autrichien. Son œuvre majeure est Le Tractatus logico-philosophicus en 1921. [...]
[...] Cette dernière nous renvoie aux propos de Barthes, cité dans le démon de la théorie (Compagnon p. La littérature, c'est ce qui s'enseigne Encore une fois la littérature reste floue, surtout lorsqu'elle rejoint les effets sociaux. A ce sujet, la critique marxiste, notamment la sociocritique, a tant met en avant la relation étroite entre tout ce qui littéraire et représentation de la réalité. D'ailleurs la littérature devient la Réalité selon Lukças. De ce faite, on peut qualifie de littéraire tout ce qui, non pas réel, mais vraisemblable. [...]
[...] Aujourd'hui, tout œuvre est si peut que ce soit littéraire. Dés lors, si la définition d'une notion quelconque devait être faite à l'aide de ses composantes, la littérature ne trouverait certainement point de définition valable. Les notions matérielles et palpables, les notions scientifiques occuperaient, certainement, le haut du palmarès des termes le mieux et les plus précisément définis. Todorov confirme, ainsi, que par opposition à la science, la littérature est connotative, c'est-à-dire riche en association et ambiguë (Todorov p. 18) Pourtant, les écrivains exercent toujours au sein d'elle et les critiques et théoriciens n'ont jamais cessé de la définir. [...]
[...] Chose due, peut être au fait que le mot à eu plusieurs traductions, et du coup, plusieurs significations qui diffères d'une époque à une autre, pour ne pas dire d'un aire à un autre. C'est pourquoi, nous pensons que définir ce qu'elle n'est pas pourrait nous éclairer. Donc, si nous voulons définir cette notion, nous devrons lui opposer ce qui n'est pas la littérature. Mais dire ce que la littérature n'est pas, ce n'est pas aujourd'hui si facile. A l'époque Antique ou classique, la liste des caractéristiques littéraires était fort limitée. [...]
[...] Qu'est-ce que la littérature ? Notre époque serait, sans doute, celle de la vulgarisation de la lecture. On ne pourrait passer une journée sans lire, que ce soit une affiche publicitaire, un article de presse ou un texte : scientifique ou littéraire. Ce dernier retient, en effet, notre attention pour son expansion majeure. Après qu'il a été réservé à une élite bien restreinte de la société, nous remarquons sa grande diffusion due à l'énorme nombre d'œuvres imprimées chaque année. D'ailleurs, en France, par exemple, on compte plus d'écrivains que de lecteurs Donc, les œuvres se multiplient et les choix varient. [...]
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