Littérature, Eldorado, Laurent Gaudé, questions et réponses, signification de l'oeuvre, colorimétrie monochrome, prix Goncourt, faits réels, immigration clandestine, progression dramatique, itinéraires des personnages, Massambalo, Salvatore Piracci
Eldorado est un mot d'origine espagnole ("el dorado" = le doré). Il s'agit d'une contrée mythique située en Amérique du Sud, selon les conquistadors du XVIe siècle, supposée regorger d'or. Ainsi, ce roman pourrait se rapprocher du genre fictif centré autour de l'utopie où l'histoire dévoilerait la recherche du bonheur ou d'un idéal qui ne sera jamais atteint, car l'eldorado reste un mythe. L'image de première de couverture est une photographie réalisée par Meyer, de l'organisation Tendance floue.
Elle représente un paysage maritime dans une colorimétrie monochrome : l'omniprésence du bleu se retrouve dans la couleur du ciel, de la mer et du bateau. Le cadre est large et présente sur une grande partie de l'image un ciel bleu en arrière-plan. Ce dernier met en valeur le deuxième plan : un petit bateau à moteur sur une mer calme contrastant avec les traits rectilignes qui constituent la photographie. Sur ce bateau est représentée une silhouette noire repérable par la couleur différenciée du bleu et dont la petitesse s'oppose à l'immensité du ciel.
[...] On peut la traverser dans un sens, mais pas dans l'autre. Celle-ci peut ainsi être une allégorie des pays européens, hostiles envers les émigrés qui portent atteinte à leur sécurité et leur stabilité Quelle est l'origine du mot « Eldorado » ? À quelle grande période ce mot renvoie-t-il ? Eldorado est un mot d'origine espagnole (« el dorado » = le doré). Il s'agit d'une contrée mythique située en Amérique du Sud, selon les conquistadors du XVIe siècle, supposée regorger d'or. [...]
[...] Ce sont les mêmes bras qui tiennent ces tasses en plastique qui frappaient sur nos têtes. [ ] Le monde est étrange. Les démons s'apaisent en une fraction de seconde et viennent nous caresser la joue » XII, 223). Boubakar a compris qu'il s'agissait un « passage obligé » comme en témoigne son silence. C'est lui-même qui lui dira, au moment de franchir la frontière espagnole : « Quand nous courrons, Soleiman, promets-moi de courir le plus vite possible. Ne t'occupe que de toi. [...]
[...] Le cadre est large et présente sur une grande partie de l'image un ciel bleu en arrière-plan. Ce dernier met en valeur le deuxième plan : un petit bateau à moteur sur une mer calme contrastant avec les traits rectilignes qui constituent la photographie. Sur ce bateau est représentée une silhouette noire repérable par la couleur différenciée du bleu et dont la petitesse s'oppose à l'immensité du ciel. Le bateau est en partie caché par le premier plan, qui peut s'apparenter au bord d'un autre bateau, traçant une ligne directrice entre le ciel et la mer. [...]
[...] Le petit collier de perles vertes Massambalo IV, p.97 (Soleiman) « C'est alors que Jamal enlève de son cou - VIII, p (Soleiman) « Je ne lui dis un collier de perles vertes. J'ai toujours vu mon frère avec. Je rien de ma rencontre au marché. Il me sens le contact froid des perles sur ma peau. [ ] Je voudrais rirait au nez et me dirait que tout cela lui rendre son collier et prendre sa maladie. » n'est que foutaises et superstitions. [...]
[...] Mais cette image peut aussi paraître trop idéaliste par rapport à la violence, l'horreur et la piété des violences qui dépeignent de ce roman Rédigez en quelques lignes la biographie de Laurent Gaudé en centrant le propos sur son œuvre. À quel genre littéraire s'est-il tout d'abord intéressé ? Citez des thèmes de ses romans et dites quels types de personnages et d'évènements il a privilégiés. En quoi le roman Eldorado s'inscrit-il dans la cohérence de cette œuvre ? Laurent Gaudé est considéré comme l'un des plus grands auteurs contemporains français. [...]
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