Écriture romanesque, Madame Bovary, Gustave Flaubert, style narratif, 1857
Gustave Flaubert, écrivain du XIXe siècle est un auteur très remarquable qui a porté de son style impressionnant et éloquent, et a su marquer le monde des lettres au point de devenir l'un des chefs-d'œuvre de la littérature réaliste du XIXe siècle, car, grâce à son habilité à maitriser la langue, il a su donner une certaine séduction a ses œuvres qui ne laisse indiffèrent aucun lecteur averti : C'est le cas avec MADAME BOVARY, premier roman de Flaubert écrit en 1857. En effet, le problème qui attire notre attention dans ce devoir est celui de l'écriture romanesque de Gustave Flaubert.
[...] Le choix narratif Flaubert ne cherche pas à tout savoir de ses personnages comme narrateur, il ne donne pas non plus une peinture exhaustive de ses personnage, mais procède pas petite touche à travers les chapitres, qui se complètent et enrichissent au fur e à mesure. La description expressive est particulièrement utiliser : Flaubert n'hésite pas à décrire plusieurs fois le même lieu, vu pas des personnages différent, dans des circonstances différentes. Cette description apporte un puissant soutient à l'analyse psychologique : une correspondance étroite s'établi entre les sentiments de l'héroïne et la représentation de l'espace quel a sous les yeux. Par rapport Stendhal, Flaubert rend plus rare l'utilisation du discours direct. [...]
[...] Elles sont utilisées pour rendre l'expression plus attrayante et même sophistiqué ce qui donne de l'esthétique à l'œuvre. Et nous remarquons donc que Flaubert fait une grande preuve de connaissance dans domaine, dès lors nous pouvons les illustrer à l'aide de quelques exemples concrets et précis tirés de l'œuvre. *HYPERBOLE : «Enfin, donc la laideur muette a des profondeurs d'expressions comme un visage d'imbécile (Partie chapitre *COMPARAISON: J'aurais voulu être comme les troupes qui avaient les verres grouillants dans le ventre (Partie chapitre III) *OXYMORE : avait de l'espoir, son but, un bonheur vague (Partie chapitre III) *ENUMERATION : Les conviés arrivèrent de bonne heure dans des voitures, carrioles à dévales, chars à bancs à deux roues, vieux cabriolets sans capote, tapisseries à rideaux de cuir (Partie chapitre IV) * ACCUMULATION : L'on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska, du chapeau rond, de la casquette à loutre et de coton (Partie chapitre -METONYMIE : Aussi moi j'apporterais votre souvenir (Partie chapitre VIII) 2. [...]
[...] Il exprime aussi un contenu de pensée du personnage et permet au lecteur de se sentir au plus près des pensées du personnage créant ainsi un effet de réel Parvenu la fin de notre analyse, ou il était question pour nous d'étudier l'écriture de Gustave Flaubert dans MADAME BOVARY il ressort donc en résumé que il est un auteur pas comme les autres, a un style très particulier et est très éloquent dans son langage dans son langage. C'est fort de ce constat que nous voyons donc que Gustave Flaubert est un auteur engagé et très réaliste. L'ECRITURE ROMANESQUE DE GUSTAVE FLAU L L'ECRITURE ROMANESQUE'ECRITURE ROMANESQUE BERT DANS MADAME BOVARY THEME : L'ECRITURE ROMANESQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace Work Fatherland GBHS. [...]
[...] Les figures de styles 2. Le vocabulaire 3. La ponctuation 4. La tonalite III- STYLE NARRATIF UTILISE PAR GUSTAVE FLAUBERT 1. Les temps verbaux 2. Le choix narratif CONCLUSION Gustave Flaubert, écrivain du XIXe siècle est un auteur très remarquable qui a porté de son style impressionnant et éloquent, et a su marquer le monde des lettres au point de devenir l'un des chefs-d'œuvre de la littérature réaliste du XIXe siècle, car, grâce à son habilité à maitriser la langue, il a su donner une certaine séduction a ses œuvres qui ne laisse indiffèrent aucun lecteur averti : C'est le cas avec MADAME BOVARY, premier roman de Flaubert écrit en 1857. [...]
[...] demanda le professeur (partie I chapitre I). il permet aussi de poser les questions rhétoriques qui ne nécessitent pas de réponse. Cela peut-être soit sur un coup de l'émotion ou le personnage se pose la question de savoir ce qui ne va pas. LE POINT DE SUSPENSSION : qui marque l'interruption des phrases, cela peut-être du soit à la peur ou à l'émotion que récent un personnage : ma cas fit timidement le nouveau promenant autour de lui des regards inquiets (partie chapitre I). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture