Dom Juan ou le Festin de Pierre, Molière, 1682, satire, hypocrisie religieuse, jeux de perspective, équivoque, péripétie, religion, superstition, impiété, athéisme, Reichler, Sganarelle
AU 17e siècle on juge impensable de mettre sur scène des thèmes sérieux comme la religion. Les comédiens sont considérés comme des damnés à cette époque. Pour eux dans la pièce, il n'y a pas de pendants pieux à l'impiété et à l'athéisme de Dom Juan. Sganarelle n'est pas pieux, car il pense beaucoup à l'argent, il accompagne Don Juan dans toutes ses tromperies, il mélange la superstition et la religion comme le fait qu'il croit au moine Bru de la même manière qu'il croit à Dieu.
[...] Elvire emprunte le désir du ciel pour manifester son propre désir pour don Juan plutôt que son sentiment chrétien. Elle fait semblant mais elle et hypocrite. On comprend qu'elle n'est pas aiment religieuse et qu'elle a du désir sexuel pour Don Juan. Les vêtements montrent les signes hypocrites, mais aussi les larmes, le langage, le gestes, le langage et le rôle hypocrite. Son désir est l'alibi du désir. Don Juan comprend la vérité derrière son mensonge qui est le langage du ciel. [...]
[...] Au dernier acte, il découvre l'hypocrisie et que le mot ciel tient la place d'honneur dans le code de l'hypocrisie. Il va donc se mettre à se refférer au ciel. Le mot ciel va être une commodité verbale qui n'as rien de réel pour Don Juan et lui permet de se faire passer pour un religieux alors qu'il ne l'est pas. Pour lui c'est un sale code d'usage. Pour lui c'est un signe, il signifie que vous vous placer dans un discours religieux que vous y croyez ou pas. Le ciel devient chez Molière le mot clé des hypocrites. [...]
[...] Optique du texte (Dandrey) II- Langage du Ciel, langage de l'hypocrisie Reichler, le langage du Ciel Reichler est un sémiologue. Son analyse est la démonstration du fait qu'un texte littéraire est toujours doublet un mouvement perpétuelle. Pour lui dans un texte il y a toujours un sous-texte et qui va créer un deuxième sens. Il va prendre l'exemple de Dom Juan pour montrer cela. Il s'intéresse au langage du cIEL; il remarque que le mot ciel est extrêmement dans la pièce: 55 occurrences, notamment dans la bouche de Don Juan. [...]
[...] Il y a aussi le blasphème qui est une impiété. Don Juan blasphème dans la pièce Définition de la satire La satire c'est critiquer en se moquant. Une satire est une oeuvre littéraire qui dénonce par la caricature dans le but de faire réfléchir, de questionner. Dans La parole pamphlétaires de M. Angelo: « Un type de discours agonique qui est l‘opposé de la polémique: distanciation et coupure radicale avec le monde antagoniste conçu comme absurdité, chaos et malfaisance. ». [...]
[...] Le mot ne signifie plus Dieu, mais montre une forme d'abus et d'hypocrisie face à la religion. La péripétie ajoutée par Molière C'est une péripétie rajouté par Molière, car elle n'existait pas dans les antécédents antérieurs. Une péripétie c'est un changement inopinée de l'action, un évènement qui fait surprise et qui va retourner l'action et va changer l'action. La péripétie est à l'acte 5 scène 1 et lorsque Don Juan fait semblant de se convertir et puis il dit qu'il a fait semblant et donc que c'est un hypocrite. [...]
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