Voici une dissertation sur le thème : La poésie est un cri habillé. Le devoir ne devait pas contenir d'introduction et de conclusion, donc il n'y en a pas. Dans un premier temps, j'explique en quoi la poésie est un cri en citant des poètes. En second temps, j'explique en quoi des poésies peuvent être habillé. Etant élève de Seconde Général, j'ai eu la meilleure note de la classe, même que le professeur m'a dit qu'il aurait fallu me mettre 20. J'espère que cet écrit va vous plaire et qu'il va vous aider. Bonne journée à vous.
[...] Il a fait une transfiguration en mettant 5 fois le radical « chant ». Il transforme ce radical en une beauté en transformant le chant comme un pouvoir magique. Je dis qu'il peut paraître d'une incantation car le radical « chant » vient de cantare, qui devient cantique, pour finir en étant incantation, qui est le fait d'employer des formules magiques afin de former un charme ou un sortilège. C'est donc pour cela qu'il a choisi le radical « chant » autant de fois, pour envouter le lecteur. [...]
[...] Dans cette deuxième partie, voici comment un cri peut être travaillé, habillé, avec l'universalité, le comique et la transfiguration. Premièrement, je vais parler d'un cri travaillé avec de l'universalité dans la Ballade des pendus de Villon. Villon a été incarcéré pendant quelques temps, ensuite il a eu une peine de mort qui s'est avérée annulée, ensuite il se sentit perdu et donc il a commencé à faire de sombres écrits. Voici un de ses écrits : la ballade des pendus. [...]
[...] C'est un vrai cri de douleur car on retrouve dans son poème les champs lexicaux de l'obscurité, de la douleur et de la mort qui soulignent tous très bien la souffrance. Ce poème a permis à Nelson Mandela de survivre pendant ses 27 ans d'incarcération lors de sa lutte contre l'apartheid. Ce cri a permis donc de créer une résistance à Nelson Mandela pendant son incarcération. Par conséquent, cet écrit est donc un appel à la résistance dans toutes les situations. En second temps, il existe un cri de révolte qui figure dans le poème de Chénier, qui était au pied de la mort et qui voyait le temps passer. [...]
[...] Il a aussi la nostalgie de son pays qu'il aime tant, qu'il voit à travers ses barreaux. Ces 3 cris paraissent tellement différents mais ils se rapprochent tous, car ils permettent à tous de s'exprimer sur quelque chose qu'il ne va pas pour eux, pour Henley, son mal-être entant qu'une personne amputée, Chénier qui n'aime pas la politique de son pays et Charles d'Orléans qui n'aime pas être exilé de son pays qu'il aime tant. L'autre point commun est qu'ils gardent tous espoir dans ce malheur car sans espoir, nous ne sommes plus rien. [...]
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