L'éducation des enfants est une question majeure. Les enfants sont les adultes de demain. Ainsi, on se pose souvent la question de savoir quelle doit être la place de l'enfant dans cette éducation. (exorde) L'auteur formule sa thèse de cette manière : « que l'enfant soit acteur de son éducation est une absurdité ». Que faut-il entendre par « acteur » ? L'auteur peut vouloir dire que l'enfant ne doit pas être au centre de son éducation, que ce n'est pas lui qui doit prendre les décisions puisqu'il qualifie cela d' « absurdité ». (analyse et reformulation de la thèse de l'auteur) Doit-on considérer que l'enfant doit être au centre de l'éducation ou bien au contraire que l'enfant ne doit pas y prendre part. (problématique) Ne peut-on pas légitimement penser qu'il est important de stimuler l'enfant pour une meilleure assimilation des connaissances ?
[...] L'éducation Nationale a pris le parti depuis plusieurs générations maintenant que la pédagogie, la didactique devait placer l'enfant au centre de la construction du savoir pour faire de lui un être émancipé, autonome et aussi tout simplement pour ne pas qu'il s'ennuie en cours. (notre thèse, argument2) Il n'y a probablement pas de « formule magique » en matière d'éducation. C'est à chaque parent de trouver le bon juste milieu. Nous n'avons pas fini de nous poser des questions sur la meilleure méthode à adopter ; En matière d'éducation au savoir par exemple, la méthode de l'enfant comme au centre de la construction du savoir st parfois remise en question. Toute remise en question est bonne à vrai dire. [...]
[...] De cette manière, nous pouvons alors nous démarquer de la pensée de l'auteur en affirmant que l'enfant doit être acteur de son éducation. (IPP conclusive) Ainsi, nous pouvons en effet penser, comme l'auteur, que l'enfant ne doit pas être au centre de son éducation car il n'a pas forcément la connaissance de ce qui est bon pour lui. Il n'a pas toutes les connaissances de l'adulte. (thèse de l'auteur, argument De plus, il n'a pas le sens des priorités. Il peut surtout penser à son plaisir plutôt qu'à son bonheur en quelque sorte. [...]
[...] Il existe une véritable profusion de divertissements et l'adulte doit imposer des garde-fous pour empêcher l'enfant de se dissiper. On peut donc considérer, à la manière de l'auteur, que l'enfant ne doit pas être acteur de son éducation. (IPP conclusive) Mais l'enfant doit être capable aussi de se forger son esprit critique, de faire ses propres choix. Il s'agit de faire de lui un individu appelé à être autonome. (IPP) Ainsi, par rapport au flux d'informations dont nous pouvons être noyés de nos jours, l'enfant doit être capable de forger sa propre opinion. [...]
[...] Ainsi, on peut donc considérer à l'inverse de l'auteur que l'enfant doit être en partie « acteur » dans son éducation. (IPP conclusive) Pour une assimilation des connaissances efficace et stimulante, il faut impliquer l'enfant. (IPP) En ce qui concerne plus particulièrement l'éducation au sens d'assimilation de connaissances, la démarche favorisée depuis un certain nombre d'années maintenant est celle de l'enfant qui construit le savoir. Au collège, au lycée, on ne va pas, par exemple, dire directement ce qu'est un pronom, les différents pronoms qui existent mais on va mettre en évidence son utilité pour peu à peu lui faire construire cette notion grammaticale. [...]
[...] Par exemple, si un enfant a faim en milieu d'après-midi, on préférera lui proposer un goûter composé d'un fruit et d'un produit laitier plutôt qu'un paquet de biscuits. On peut alors abonder dans le sens de l'auteur qui pense que l'enfant ne doit pas être au centre de son éducation. (IPP conclusive) L'enfant ne peut être au centre de son éducation car en effet il n'a pas le sens des priorités. (IPP) Il va être davantage gouvernée par le principe de plaisir. Il va par exemple préférer veiller tard pour jouer à son jeu vidéo préféré. [...]
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