Critique de Goldman, Dieu Caché, relation entre dieu et l'homme, relation de l'homme et le monde, littérature, société, Goldman
Les écrivains du XIXe siècle se sont souvent pris pour mission de refléter la société, notamment de s'engager en politique. On sait tous que Balzac, Zola, Lamartine ou Victor Hugo ont joué un rôle important dans la construction des idées et des images de leur époque. Ainsi, la critique marxiste, et la sociocritique notamment, ont trouvé une matière d'analyse dans cet engouement pour le social. Marx, Lénine et Goldman, pour ne citer que ces trois, semble des exemples parfaits pour cette critique d'une littérature qui se veut être « le secrétaire de la société ».
[...] C'est un dieu spectateur, un dieu caché. Ainsi, le manque de communication avec le dieu se traduit et s'inscrit dans l'idéologie de groupe social de l'époque. Et que Goldman, par son analyse a réussi à dégager. Par ailleurs, l'homme tragique montre une certaine difficulté dans sa relation avec le monde. Par le grand nombre de dialogue solitaire ou monologue, le personnage tragique semble en rupture totale, ou partielle, avec son entourage. Il ne semble se trouve comme interlocuteur qu'un dieu absent ou caché. [...]
[...] La critique de Goldman, dans le Dieu Caché. Les écrivains du XIXe siècle se sont souvent pris pour mission de refléter la société, notamment de s'engager en politique. On sait tous que Balzac, Zola, Lamartine ou Victor Hugo ont joué un rôle important dans la construction des idées et des images de leur époque. Ainsi, la critique marxiste, et la sociocritique notamment, ont trouvé une matière d'analyse dans cet engouement pour le social. Marx, Lénine et Goldman, pour ne citer que ces trois, semble des exemples parfaits pour cette critique d'une littérature qui se veut être le secrétaire de la société Dès lors, il serait intéressant de se demander sur les liens entres la littérature et la société dont Goldman parle dans ses ouvrages. [...]
[...] Donc, quoi qu'il fasse, il n'arrive pas à s'entendre avec son monde, pis encore il (le monde) semble venir à son encontre : dès que Phèdre avoue son amour pour son peau fils, son mari revient. En somme, c'est le tout ou le rien, le oui ou le non qui caractérise le personnage et les œuvres tragiques. Goldman dans son étude, basée sur l'analyse de Lukacs, oscille entre monde littéraire et monde réel pour retrouver une adéquation correcte. Son étude semble se baser sur des faits contrôlables. Cependant parler des personnages n'évoque pas leur caractère psychologique. Et dit caractère psychologique, dit forcement une étude psychanalytique. Mais y a-t-il de telle étude ? [...]
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