Il s'agit d'un conte , rédigé en classe de 1ère rassemblant tous les critères d'un conte (péripéties, dénouement...)
[...] Les Fleurs Jumelles Il était une fois, deux jumelles, nées d'un roi et d'une reine. Elles avaient été nommées Violette et Rose, car, à leur naissance leurs marraines avaient offert un bouquet de Violette à la première et un bouquet de Rose à la seconde. Violette faisait partie des plus belles jeunes filles du royaume, elle avait de longs cheveux bruns et des yeux noirs profonds, cependant elle fut des plus méchante et vaniteuse. Elle aimait apparaître comme étant la plus belle, la plus gentille, celle qui était parfaite. [...]
[...] Interloqué, le prince resta muet devant elle. Lorsqu'il eut repris ses esprits, le prince dit à Rose qu'il était tombé amoureux de sa voix et qu'il ne pourrait en épouser une autre. Il fit monter sa belle sur son étalon blanc et l'emmena devant le roi où il demanda la main de Rose. Le roi fit quelque peu déconcerté par la demande du prince, mais se disant qu'il aurait bien du mal à marier Rose, il accepta la proposition du prince et déclara que le mariage aurait lieu dans quelques jours. [...]
[...] Le roi accepta et annonça que le mariage serait célébré dans quelques semaines. Les semaines passèrent et le prince se rendit bien compte que derrière la beauté de Violette se cachait une princesse vaniteuse et capricieuse. Elle faisait sans cesse des caprices similaires à ceux que peuvent faire les plus jeunes enfants. Ne sachant que faire, le prince enfourcha son superbe étalon blanc et partit se balader dans la forêt pour se vider l'esprit. Durant sa balade, le prince entendit une voix, la plus belle et douce qu'il soit. [...]
[...] Elle avait désormais de longs cheveux blonds et des yeux bleues si clair, que son regard pouvait en hypnotiser plus d'un. Le prince fut si subjugué par une telle beauté qu'il en tombât dans les pommes. Le roi sauta au cou de sa fille et l'embrassa. Rose et son prince vécurent heureux jusqu'à la fin des temps. Violette resta seule jusqu'à la fin de sa vie, puisque personne ne désira se marier avec elle tant elle fut méchante. Moralité : Il n'y a rien de plus trompeur que l'apparence. [...]
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