Charles Baudelaire, Jacques Aupick, passions féminines, bohème
Son harmonie familiale se brise avec la mort de son père et le remariage de sa mère avec le commandant Jacques Aupick : homme d'action et d'ordre que l'enfant ne pourra jamais aimer, et qui servira au jeune homme de contre-modèle dans son choix de vie.
Baudelaire y verra même une malédiction initiale, destinée à peser sur ses passions féminines ultérieures, toujours ardentes et toujours trahies.
Après son bac, il s'inscrit à la faculté de droit, mais songe à fréquenter la « bohème » du quartier latin.
Pour l'éloigner de ses mauvaises fréquentations, sa famille décide de lui offrir un voyage, on l'embarque pour Calcutta.
[...] Charles Baudelaire. Son harmonie familiale se brise avec la mort de son père et le remariage de sa mère avec le commandant Jacques Aupick : homme d'action et d'ordre que l'enfant ne pourra jamais aimer, et qui servira au jeune homme de contre-modèle dans son choix de vie. Baudelaire y verra même une malédiction initiale, destinée à peser sur ses passions féminines ultérieures, toujours ardentes et toujours trahies. Après son bac, il s'inscrit à la faculté de droit, mais songe à fréquenter la « bohème » du quartier latin. [...]
[...] A 21 ans, de retour à Paris, il peut enfin bénéficier de l'héritage paternel. Son train de vie devient coûteux et raffiné. C'est « le plaisir d'étonner et la satisfaction de ne jamais être étonné ». Il aime Jeanne Duval, surnommé en raison de sa peau noire « la Vénus noire ». Elle sera durant 23 ans, l'infidèle compagne de Baudelaire. Baudelaire va considérer sa vie comme placée sous le signe d'une tripe malédiction : celle du travail poétique, celle de la souffrance physique et morale ainsi que celle de la réprobation sociale. [...]
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