La poésie lyrique tient son nom de la lyre d'Orphée. On peut voir deux grandes orientations du genre poétique au cours des siècles. Comme le montre le recueil "Méditations", le poète Lamartine ne perçoit la poésie que comme étant lyrique : "Ce n'était pas un art, c'était le soulagement de mon cœur." Dans cette citation, nous pouvons y voir deux éléments.
Doit-on penser avec le poète Lamartine que la poésie n'est que le fruit de l'inspiration et qu'elle ne permet au poète que de soulager son cœur ?
[...] On parle d'« objet d'art Mais contre l'inspiration qui livre de façon brute, il y a le travail du poème et l'élaboration de l'objet poème. En effet, il y a des contraintes formelles en poésie. Ces contraintes se retrouvent dans l'Art Poétique de Boileau. Pour exemple, le sonnet a des règles précises qui sont énoncées dans l'Art Poétique de Boileau : il doit être composé de quatre quatrains, de deux tercets, les rimes doivent être embrassées dans les quatrains et suivis dans les tercets. De plus il doit y avoir une rupture entre les tercets et les quatrains. [...]
[...] On peut voir ici que ce poème est un soutien dans la détresse. En conclusion, la poésie n'est pas seulement libératrice et créée sous le coup de l'inspiration, la poésie est aussi un objet d'art un ornement, fruit d'un travail méticuleux. Mais les poètes peuvent se servir de leur plume comme d'une arme, comme dans la poésie engagée. C'est sans doute les combats menés par les poètes au fil des siècles qui ont sans doute permis à la société d'évoluer. [...]
[...] "Ce n'était pas un art, c'était le soulagement de mon cœur", Lamartine Lamartine : Ce n'était pas un art, c'était le soulagement de mon cœur. Commentez cette citation tirée d'un recueil qui s'intitule Méditations (1820). La poésie lyrique tient son nom de la lyre d'Orphée. Celui-ci essaya de reprendre sa belle Eurydice du dieu Hadès par sa musique mais n'y parvint pas. La poésie engagée, elle, dénonce des faits. On peut voir deux grandes orientations du genre poétique au cours des siècles. [...]
[...] De plus Victor Hugo, au 19e siècle, dans Souvenir de la nuit du 4 il apporte un soutien dans la détresse, car l'enfant est mort. Il est avec la grand-mère de l'enfant d'où le nous On ne sait pas pourquoi l'enfant a été tué. Il faut aussi dire que Victor Hugo considérait Napoléon III comme un usurpateur. La poésie dénonce, elle est une arme au service du peuple. Victor Hugo dans Mélancholia dénonce le travail des enfants : Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? [...]
[...] Celui-ci écrit dans un poème qui s'intitule : Les Montreurs : Je ne te vendrai pas mon ivresse, mon mal Il prône la poésie descriptive, essentiellement tournée vers le monde extérieur. On peut donc y voir un refus du moi romantique ainsi qu'un refus de parler lui, son moi donc c'est une critique des poètes lyriques. Mais la poésie peut être aussi engagée. C'est-à-dire que l'auteur se met au service d'une cause. Elle est là pour dénoncer. En effet, on peut l'observer dans différents siècles. [...]
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