Candide, Voltaire, 1759, portée humaine, conte philosophique, philosophie des Lumières, Eldorado, quête du bonheur, Pangloss, inaction, hypocrisie, satire
C'est au début du XVIIIe siècle que nait un des plus grands philosophes des Lumières. Il se nomme Voltaire. Ce grand personnage a écrit plusieurs oeuvres littéraires célèbres. L'écrivain manie son style avec une grande subtilité et possède tout l'arsenal des procédés du conteur et du polémiste : religion, politique, économie, philosophie, science et littérature sont abordées, avec humour, ironie et moquerie.
[...] Candide - Voltaire (1759) - Quelle est la portée humaine de ce conte philosophique ? C'est vers le début du 18[e] siècle que nait un des plus grands philosophes des Lumières. Il se nomme Voltaire. Ce grand personnage a écrit plusieurs œuvres littéraires célèbres. L'écrivain manie son style avec une grande subtilité et possède tout l'arsenal des procédés du conteur et du polémiste : religion, politique, économie, philosophie, science et littérature sont abordées, avec humour, ironie et moquerie. Nous verrons les divers signes de ce travail philosophique dans toutes ses formes à travers le conte Candide. [...]
[...] Tout au long de l'histoire, Pangloss rappelle à Candide que tout va pour le mieux. Les porcs étaient faits pour être mangés, c'est pourquoi nous mangeons du porc. Les jambes étaient destinées à porter des chaussures, c'est pourquoi nous avons des chaussures. Et enfin, la baie de Lisbonne a été créée pour que le personnage Jacques s'y noie . Bien que les rationalisations de Pangloss soient exagérées, son personnage était utilisé pour se moquer des philosophes qui croyaient que tout s'était passé pour une raison spécifique. [...]
[...] Plus tard, il se mêle à un marchand ambulant, qui l'escroque. Candide attire aussi des amis qui l'aiment dans le seul but de recevoir des bijoux et de l'argent avant de disparaître. Son parcours montre à quel point son nouveau succès présente à la fois un côté positif et un côté sombre. Il parvient à acheter la liberté de ses amis et trouve des personnes réellement utiles. Malheureusement, il attire également des personnes qui ne veulent que des ressources de sa part, ce qui nuit à sa vision optimiste de la vie. [...]
[...] Mais il ne peut que penser à retourner dans son pays avec sa fortune. Quand Candide sera réuni avec ses amis et ses bien-aimés, encore une fois, il devrait être heureux. Ils sont à l'abri des guerres, de la violence et des catastrophes naturelles. Mais ils deviennent inquiets et ennuyés. Ce n'est que lorsque Candide rencontre un fermier qui travaille dur qu'il réalise la seule chose dont ils ont besoin : le but. Candide dit : Nous devons cultiver notre jardin. [...]
[...] Candide montre le danger de philosopher sans faire. Il est facile de se laisser prendre à des choses indépendantes de notre volonté. Lorsque nous pensons à ce que font les autres ou aux derniers potins, nous perdons de vue comment améliorer notre propre situation. En conclusion, nous pouvons conclure dans Candide que les expériences humaines ne sont pas atteintes ni par la satisfaction des besoins, parce qu'il engendre l'ennui, ni par la recherche de l'amour, ni par la recherche du pouvoir, car dans les deux cas, il n'est qu'une illusion qui nous déçoit énormément lorsqu'elle s'évanouit. [...]
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