Analyse des Tableaux Parisiens, Les fleurs du Mal, Baudelaire, Paris, Spleen de Paris
On peut dire que Baudelaire offre l'image d'un Paris en construction sous l'impulsion du baron Haussmann, car ils nous parlent de « vieux débris gisant au seuil de quelques Véfour de carrefour » v 47 à 48(« À une mendiante rousse »), mais aussi de « faubourg secoué par les lourds tombereaux » v12 (« Les 7 vieillards »). De plus le poète dans « Le cygne » nous parle d'un cygne qui a perdu son habitat et le poète s'identifie à lui avec ce vieux Paris qui disparaît avec les travaux et qui est remplacé par le nouveau Paris. Baudelaire exprime sa nostalgie quant au vieux Paris. Il dit : « Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville change plus vite, hélas ! que le coeur d'un mortel) v 5 à 8 et encore un peu plus loin : “Paris change ! mais rien dans ma mélancolie n'a bougé ! palais neufs, échafaudages, blocs, vieux faubourgs, tout pour moi devient allégorie, et mes chers souvenirs sont plus lourds que des rocs.” 29 à 32. Dans ce même poème on repère également : “Je ne vois qu'en esprit tout ce camp de baraques, ces tas de chapiteaux ébauchés et de fûts” v9-10. Baudelaire nous décrit bien un Paris qui est bouleversé par les travaux. Baudelaire parle même de “bric-à-brac confus” v 12 (“Le cygne”).
[...] 24 (Le crépuscule du matin) . Dans Le crépuscule du soir parlent de des démons malsains dans l'athmosphère qui s'éveillent lourdement v11. Ils comprend ensuite plus bas que ces démons malsains sont des prostituées grâce au terme prostitution »v15 ou encore des voleurs v25. Baudelaire reparlera de prostitution à travers l'expression Les femmes de plaisir, la paupière livide, Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide v13-14 dans le poème Le crépuscule du matin Dans ce même poème, Baudelaire nous parle des femmes qui accouchent s'aggravent les douleurs des femmes en gésine »v18 mais aussi des malades sur le point de mourir avec« Et les agonisants dans le fond des hospices Poussaient leur dernier râle en hoquets inégaux. [...]
[...] Dans ce poème les personnages qui sont aux nombres de trois sont qualifiés uniquement par leur regard : "cette famille d'yeux", "les 6 yeux" Ce sont donc les yeux qui parlent pas la bouche. En conclusion, nous avons développés ci-dessus plusieurs points communs mais il y en a beaucoup d'autres. Il est nécessaire d'étudier les deux oeuvre en parallèle pour mieux comprendre le messgae que Beaudelaire a voulu faire passer au travers ces poèmes ainsi que les effets de ces différentes constatations. [...]
[...] Par exemple dans le poème une passante , ou juste grâce à la description on comprend que la femme est riche et signe d'aristocratie : Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; elle a également un profils de rêve elle est longue, mince et a une attitude agile et noble La passante est donc l'incarnation de l'Idéal mais qui est inaccessible. En effet Baudelaire il est impossible pour le poète de retrouver cette femme et le poète l'a bien compris : Ne te verrai-je que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici!Trop tard!Jamais peut être ! Mise en Relation Tableaux Parisiens et Spleen de Paris Les”Tableaux parisiens” ainsi que spleen de Paris” sont deux sections qui ont été écrites par Beaudelaire et qui présentent des caractéristiques communes. [...]
[...] Il compare aussi dans ce même poème Paris à un colosse puissant c'est à dire à une ville de puissante immense et capable de résister. De plus dans Les petites vieilles, on peut relever : Dans les plis sinueux des vieilles capitales, Où tout, même l'horreur, tourne aux enchantements Cela montre que même les choses affreuse peuvent devenir belles et merveilleuses. Pour conclure on retiendra la citation «L'aurore grelottante en robe rose et verte S'avançait lentement sur la Seine déserte, Et le sombre Paris, en se frottant les yeux, Empoignait ses outils, vieillard laborieux. [...]
[...] Baudelaire exprime sa nostalgie quant au vieux Paris. Il dit : Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville change plus vite, hélas ! que le coeur d'un mortel) v 5 à 8 et encore un peu plus loin : “Paris change ! mais rien dans ma mélancolie n'a bougé ! palais neufs, échafaudages, blocs, vieux faubourgs, tout pour moi devient allégorie, et mes chers souvenirs sont plus lourds que des rocs.” 29 à 32. [...]
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