Baudelaire, Ponge, poésie, L'huitre, Spleen, Les Fleurs du Mal, prose, théâtre
Les poèmes en prose se distinguent par leur structure en paragraphes courts plutôt qu'en vers. Cette forme poétique conserve néanmoins un rythme et une division semblables à ceux des strophes, permettant une organisation harmonieuse du texte.
Comme dans la poésie en vers traditionnelle, les poèmes en prose mettent l'accent sur les aspects sonores de la langue. Les auteurs utilisent des procédés tels que les allitérations (répétition de sons consonantiques) pour créer des effets poétiques et amplifier l'impact émotionnel du texte.
[...] Le projet d'écriture de F.P est semblable à celui de Baudelaire, il s'agit de transforme de la « boue » (objets ordinaires), en « or », (beuatés, objets poétiques). On peut parler d'alchimie poétique pour Francis Ponge, il nous livre un autre regard, un autre jugement sur les objets et nous invite à les pérsevoirs différent. L'huitre Le poème décrit l'animal et raconte son ouverture, travail difficile, pénible et dangereux mais qui permet de découvrir une perle (symbole de beauté). [...]
[...] Le roi est donc un être paradoxale, contradictoire. Son âge réel le qualifie comme jeune, mais sa mélancolie fait de lui un être vieillit prématurement. A gauche et à droite du groupe sculté, on peut voir 2 bas-reliefs qui représentent les commanditaires de la statut (ceux qui financent), la famille CORNARO, installés dans des loges/balcon de théâtre -éléments baroques, ils sont en position de spectateurs, voyeurs. Les Fleurs du Mal (1857) Réflexion sur le titre du recueil Le titre est oxymorique, car les fleurs s'opposent au « mal ». [...]
[...] d'un psychanalyste. 2 passages de ce récit sont devenus proverbiaux et constituent des messages : « suis-je le gardien de mon frère » Charles Baudelaire « Spleen » (« Je suis comme le roi ») C.B FM ; 1857 Personnages individuels Personnages collectifs Je Ses percepteurs Peuple mourant Dammes d'atour (Les Romains) Roi (prince) Bouffon (poète) Savant (alchisimite) V1 : Le « je » qui ouvre le premier alexandrin est un « jeu » lyrique qui mêle autobiographie et fiction. [...]
[...] Le théâtre est inventé au Ve siècle par les Grecs, il s'agit au départ d'une cérémonie religieuse dans laquelle on sacrifiait un bouc en honneur du dieu de la vigne et de la fête Dionysos. Cette cérémonie se complexifie progressivement, avec ajout d'un ? et de 3 acteurs maqués. Pour Aristote dans la Poétique, le spectacle doit libérer les spectateurs de leur passion mauvaise. Pour cela, ils doivent éprouver « crainte » et « pitié ». Aristote nomme Catharsis, cette libération purification, cette purgation de l'âme des spectateurs. Épanorthose : figure de l'autocorrection. [...]
[...] Les deux poèmes en proses constituent 2 allégories de la vie humaine, avec leurs début, leur existance et leurs fin, métaphore de la fin, ils expriment le caractère éphémère de la vie Le vers 13 fait apparaitre après le roi et le bouffon-poète, le personnage de l'alchimiste, autre figure de CB, avec une périphrase, la négation « on n'a jamais pu » souligne l'impuissance de ce médecin-magicien à guerir le roi de son Spleen. Une allitération en renforce l'échec de cette tentative de purification de l'ame du droit « de son être extriper l'élément corrompu » (idée de VIOLENCE). Dans l'Antiquité on pensait qu'un bain de sang de jeunes enfants, de jeunes iverges pouvaient permettre de retrouver une certaine jeunesse, une certaine énergie. Le sang principe vitale. [...]
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