XXème siècle, guerre, surréalisme, dadaisme, littérature, hommme
C'est le début de la littérature engagée : ils estiment qu'il n'y a pas d'intérêt à raconter le monde. C'est le cas d'André Malraux qui s'efforce d'atteindre l'universel, puis dans les années 30, il entre dans la politique. Il a une fascination pour la révolution soviétique (à cette époque, ce sont aussi les débuts d'Hitler). Pour chaque camp, le mal est dans l'autre.
[...] L'œuvre d'art a un prix, une valeur monétaire alors qu'avant elle avait une valeur esthétique. On retrouve la même chose avec les livres : il faut qu'ils soient diffusés pour être vendus. Dans les années 50 et 60, on trouve de nouveaux romans : on ne croit plus aux romans omniscients. Les nouveaux romans orientent l'université car on étudie le texte. On met en exergue que le roman est un texte, un ensemble de mots. Autocritique du roman. La critique est plus importante que le roman lui-même. [...]
[...] Il imagine une création littéraire, artistique spontannée qui ne passe pas par la raison ou la conscience. Pour cela, ils font des essais techniques pour passer cette raison avec de l'alcool, de la drogue, l'écriture automatique et le rêve éveillé. Ils veulent être libérés de la morale. En plus de ces auteurs, on trouve André Gide, un individualiste forcené. C'est un provocateur : il exhibe en public et pour la première fois son homosexualité. Il remet en question la notion de roman : le monde est expérimenté par un point de vue juste individuel. [...]
[...] Il est accusé de collision avec les nazis. Céline, lui, écrit « Voyage au bout de la nuit » : pour lui, la guerre est une bêtise (il a été traumatisé par elle). Il a une vision pessimiste de l'homme. C'est un fasciste nazi, antisémite. Il cherche peut-être la purification totale par le mythe. Son écriture est désespérée. Cet auteur a été redécouvert dans les années 70 en essayant de voir uniquement son œuvre et non ses idées. Bernanos a écrit « Les grands cimetières sous la Lune », c'est un chrétien qui s'interroge sur le mal. [...]
[...] Par là, il s'exhibe, il n'a pas peur de se montrer réellement. C'est le début de la littérature engagée : ils estiment qu'il n'y a pas d'intérêt à raconter le monde. C'est le cas d'André Malraux qui s'efforce d'atteindre l'universel, puis dans les années 30, il entre dans la politique. Il a une fascination pour la révolution soviétique (à cette époque, ce sont aussi les débuts d'Hitler). Pour chaque camp, le mal est dans l'autre. Malraux participe à la révolution chinoise. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture