littérature, sciences, siècle des lumières, philosophes, XVIIIème siècle, monarchie, révolution française
Le XVIIIème siècle c'est aussi le moment des Lumières (1715-1750). L'homme prend conscience de sa liberté créatrice. L'Histoire développe une nouvelle idée à savoir que l'on est plus dépendant d'un temps immuable. Ce sont les hommes qui font l'histoire, l'humanité se reproduit mais elle n'est pas toujours la même (évolution, progrès).
[...] En 1730, un genre nouveau fait son apparition. Ce sont les romans d'apprentissage ou d'éducation. Ils sont lancés par Marivaux avec « La vie de Marianne » et « Le paysan parvenu » avec le modèle du chevalier au Moyen-âge : on peut changer de classe sociale. Le schéma de base est une fille et un garçon qui se confrontent à l'amour et à la société. On retrouve l'idée d'apprentissage : il faut comprendre la vie humaine pour se sortir de situations difficiles. [...]
[...] Il est l'instrument de son propre avenir. On entrave tout ce qui peut empêcher cela : l'indifférence religieuse par exemple. Le XVIIIème siècle c'est aussi le moment des Lumières (1715-1750). L'homme prend conscience de sa liberté créatrice. L'Histoire développe une nouvelle idée à savoir que l'on est plus dépendant d'un temps immuable. Ce sont les hommes qui font l'histoire, l'humanité se reproduit mais elle n'est pas toujours la même (évolution, progrès). L'homme va jeter sur les faits passés un regard cynique. [...]
[...] Il est au carrefour entre la raison et la sensibilité. Il est sensible et c'est ce qui conduit sa vie : ce sera ensuite le centre du romantisme. « L'homme est naturellement bon mais c'est la société qui le corrompt », surtout à cause de la propriété. A la fin du XVIIIème siècle, le courant libertin se développe. En 1789, l'élite sociale s'exile ou se fait guillotiner. La révolution va donner la preuve que l'on peut changer les choses (progrès par rapport à la monarchie). [...]
[...] A partir de lui, va naître l'intérêt pour les sciences politiques. C'est l'homme qui décide et non Dieu, donc si on veut être plus heureux, c'est à nous de le faire (mise en place de la critique religieuse). Le credo des philosophes des Lumières est la lutte contre l'intolérance religieuse. Ainsi, Montesquieu et Voltaire sont proches du modèle anglais. Ils prônent une monarchie constitutionnelle. L'esprit critique et l'esprit d'examen progressent. Avec « Candide », « Ladig » Voltaire ébranle peu à peu le pouvoir politique. [...]
[...] On trouve alors deux catégories : -ceux qui y croient -ceux qui le refusent et qui sont pour le progrès technique car il empêche la souffrance de l'homme. Le bonheur humain est surtout matériel. Le mal n'est plus dans l'homme mais dans la société. L'ignorance empêche le progrès technique. Pour beaucoup, le mythe du « bon sauvage » permet de critiquer les institutions de la France, c'est un prétexte. D'un point de vue individuel, chacun cherche son bonheur. Si la société de classe n'est pas un bon modèle, on ne me définit pas par ma classe. [...]
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