Cycle 1 : étude de moeurs : 6 livres, qui décrivent la vie sociales sous la Restauration, partie la plus connue de l'oeuvre de Balzac. : Le spectacle, ce que l'on voit - Scènes de la vie privée : décrivent la vie sociale, essentiellement les erreurs de la jeunesse (le Père Goriot, Un début dans la vie, Les illusions perdues...)
- Scènes de la vie de Province : les romans de l'ambition, roman de toutes les passions, le roman des intérêts, des calculs, pour le mauvais côté (Le lys dans la vallée, La cousine bête... : tous les romans dans lesquels on voit la mesquinerie de l'humain, vieux avares et rentières...)
- Scènes de la vie Parisienne : Paris montré d'un extraordinaire excessif, dans le bien et le mal (Splendeurs et misères des courtisanes...)
- Scènes de la vie politique : Une ténébreuse affaire
- Scènes de la vie militaire : Les Chouans (tous les Catholiques royalistes Vendéens et Bretons
insurgés contre la République en 1793, guerre civile)
- Scènes de la vie de campagne : romans très moralisateurs : médecin de campagne...
[...] Balzac semble lier un lien personnel avec son lecteur. Balzac - La Comédie Humaine Un observateur Il étudie la société dans ce qu'elle a de meilleur et de pire, montre la mesquinerie, n'hésite pas à montrer le pire visage des hommes, à aucun moment une volonté de grandir l'homme, le but est de découvrir progressivement pour le lecteur la réalité et les enjeux de la vie. La réalité apparaît toujours obscure, pleine de secrets. Accumulation de détails : ultra-réalisme qui finit par perdre le lecteur, les détails montrent une évolution, récurrence et sens des détails très travaillés. [...]
[...] Balzac - La Comédie Humaine Technique d'écriture : Des outils, pour se canaliser : importance de descriptions (totales), anecdotes réelles (personnages . relations causales, créer un monde fictif cohérent, ordonné. Il est le premier à créer des types humains, un fragment de la société : pas seulement des silhouettes. Il crée de véritables espèces sociales (par exemple : tous les rentiers sont sous le même modèle), les antithèses (pur et impur, cruauté et innocence, le vieillard et le jeune apprenti), des romans alors parfois très stéréotypées, qui laissent peu de place à l'imagination. [...]
[...] Les romans de Balzac sont toujours violent toujours une histoire de lutte. Le penseur Il veut découvrir les lois de la vie, les forces qui ordonnent l'homme et sa société, particulièrement la force de la pensée, une force aussi efficace qu'une force matérielle, pensée de l'artiste : vive de façon intense et violente, ou alors économiser sa pensée (question par exemple de la Peau de Chagrin). Soit l'artiste va se consumer à la poursuite d'un idéal inaccessible, le génie créatif entraîne donc soit dans une spirale d'échec et de mort (Fred), soit au contraire donne un équilibre à l'artiste, en lui évitant la routine, la médiocrité (le travail). [...]
[...] Au-delà des anecdotes politiques et économiques, des comportements humains immuables, le roman devient didactique. Un visionnaire Insuffle à ses romans une dimension fantastique par exemple, sortes de rapports de force qui déforment la réalité, une image recomposée du réel, non exacte : la mimésis qui recompose, elle ne décalue pas. La société devient un être actant, action réelle et presque délibérée sur le cours des aventures. Les personnages désirent, veulent, souhaitent se dépasser (force créatrice, force de l'entrepreneur, de l'homme politique). [...]
[...] ) - Scènes de la vie de Province : les romans de l'ambition, roman de toutes les passions, le roman des intérêts, des calculs, pour le mauvais côté (Le lys dans la vallée, La cousine bête . : tous les romans dans lesquels on voit la mesquinerie de l'humain, vieux avares et rentières . ) - Scènes de la vie Parisienne : Paris montré d'un extraordinaire excessif, dans le bien et le mal (Splendeurs et misères des courtisanes . ) - Scènes de la vie politique : Une ténébreuse affaire - Scènes de la vie militaire : Les Chouans (tous les Catholiques royalistes Vendéens et Bretons insurgés contre la République en 1793, guerre civile) - Scènes de la vie de campagne : romans très moralisateurs : médecin de campagne . [...]
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