Stendhal, La chartreuse de Parme, dénouement, fin tragique, mort de Sandrino, Fabrice, Clélia, Balzac, ironie, élément déclencheur, comte Osca, Ernest, chaîne funeste
Dans quelle mesure la mort prématurée de Sandrino, en étant le déclencheur d'une chaîne de réactions funestes, aboutit-elle à une fin complexe à la fois tragique brutale mais aussi ironique ? Parler de la mort de Sandrino dans la problématique est important car c'est un élément déclencheur. Une sorte de happy ending se met en place à la fin du roman : Fabrice et Clélia se voient, certes dans le noir mais il y a contact entre eux. Ils ont tous les deux un enfant, Sandrino, que Fabrice arrive à voir assez régulièrement. Pendant plusieurs pages, il y a un statut quo, tout va bien entre les personnages. Mais Fabrice veut avoir son fils avec lui de manière permanente, quand la situation se dégrade.
[...] ds sa Chartreuse Dernier paragraphe . To the happy few = mouvement ironique qui concernent les deux personnages Comte Osca et Ernest. Étonnant que le comte M ne meurt pas, car amoureux de la comtesse. Il ne meurt pas, car il a la passion de l'argent et de la politique. Cette fin est ironique, car il y a une cohabitation entre la passion amoureuse et la passion de l'argent qui est aussi une passion de la politique. Pour mourir il fait aimer ds cette fin de roman. [...]
[...] MVT cet enlèvement . les bras de son ami= il est question de Clélia et de Sandrino, on comprend le mécanisme qui est mis en place, avec mort de Clélia Fabrice était trop amoureux . à deux lieux Sacca = Mort différente= rupture. F on parle de lui, ms ne meurt pas tout de suite. Il est encore question de lui avant sa mort= ce Deuxième mouvement, a sa propre spécificité= il s'agit du testament de Fabrice qui est à mettre en lumières avec la fin du texte qui distingue pers passionné des personnages non passionnés en rapport avec amour pour argent ou pas. [...]
[...] En revanche a du écouter son éditeur → Il a écrit le roman en ayant en vue la mort de Sandrino. Pers dont on entend assez peu parler. Quand Sandrino meurt, le roman mort également avec lui. → il est question du titre de l'œuvre seulement à la fin= mis en italique pr souligner qu'il s'agit d'un lieu et du titre : clin d'œil au lecteur. On comprend la chartreuse de Parme : F s'y réfugie. Le roman s'achève ds la Chartreuse une fois que la mort de S est effective. [...]
[...] Tous ces personnages st à priori bien portant S n'est pas malade au départ, il contracte cette maladie par la mise en scène contracté par F par amour. Clélia aime F et meurt d'amour. Elle aime ce fils car elle est l'image de elle ne peut plus voir F en plein jour, ms le peut par le biais de son fils. F meurt car C meurt. Comtesse Mosca meurt car perd F. Fin tragique = personnage meurt. Fin brutale= en quelques lignes sort des personnages s'achèvent en quelques paragraphes. Roman s'achèvent en nouvelle ici. Cf Stendhal est aussi nouvelliste. [...]
[...] Dénouement La Chartreuse de Parme Excipit. Clélia a eu un fils avec Fabrice : Sandrino. Fabrice propose deux possibilités pour cacher l'adultère : Enlèvement ou maladie feinte. Finalement organise enlèvement du fils=> ms suite funeste. Lecture Problématique : Dans quelle mesure la mort prématurée de Sandrino en étant le déclencheur d'une chaîne de réactions funestes aboutit-elle à une fin complexe à la fois tragique brutale ms aussi ironique ? → Parler de la mort de Sandrino ds la problématique car c'est l'élément déclencheur= sorte de Happy end se met en place du roman= F et C se voient, certes ds le noir ms contact entre eux. [...]
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