Babylone 2001, Béatrice André-Salviani, Nabuchodonosor II, dieu Marduk, histoire de la Mésopotamie, Sargon II d'Assyrie, poème d'Atrahasis, Hammurabi, Hérodote, monde cosmique, tour de Babel
Nulle cité au monde n'a davantage été enviée ou crainte, dévastée et reconstruite que Babylone à la fin du IIe siècle avant J.-C. Chaque souverain puissant voulut la conquérir et y laisser son empreinte pour l'embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie. C'est une ville née de la puissance de son dieu suprême, Marduk. Cet aspect cosmologique est à l'origine de toute la conception architecturale et décorative de la ville.
[...] Rejet de l'Assyrie, sentiment nationaliste des Babyloniens. Fondation de l'Empire néo-babylonien par Nabopolassar (626-605 avt JC). Dura – de 100 ans (626-539 avt JC). - Nabuchodonosor II (605-562 avt JC) = long règne. Domina le proche Orient. Prise + pillage de Jérusalem en 597, puis 587. Son fils, Amel-Marduk lui succéda, mais fut assassiné par son beau frère, Nériglissar (560-556). -puis règne de Nabonide (556-539) doué d'une forte personnalité. Dernier souverain de l'Empire néo-babylonien. Ancien nom de Babylone = Uruk. [...]
[...] ( La fête du nouvel an : se déroulait du 1e au 12e jour du mois de nisamu, correspondant au début de l'année, au printemps. ( La chute de Babylone et la domination Perse : Cyrus, fondateur de l'Empire perse, s'empara de la ville en 539 avt JC. Puis = Darius, puis son fils Xerxès 1er. ( En 330 avt JC, Alexandre le Grand entre en vainqueur à Babylone. (Les Parthes s'installent à Babylone vers 130 avt JC. Disparition de Babylone. = fin d'un symbole et de l'écriture cunéiforme. [...]
[...] Le babylonien = langue principale de tout le Proche Orient. - fin XVIIIe siècle = Roi d'Assyrie : Tukulti-Nintura : attaque et démolit Babylone. Mais fasciné par cette civilisation, se proclame roi de Babylone. puis reprise du pouvoir par les kassites au milieu XIIe siècle. ( liberté retrouvée avec le règne de Nabuchodonosor 1er. Celui-ci rapporta la statue de Marduk qui avait été emportée à Suse, et fit recomposer la chronologie des rois anciens. Volonté de défendre Babylone contre les attaquants ( construction de murailles grandioses Nabuchodonosor établit la paix. [...]
[...] -enceinte intérieure (elle fut victime de la colère de Sennachérib ; Assarhaddon essaya de la reconstruire mais en vain). -les murailles de Babylone : fortification redoutable et splendide. = admirées par les auteurs classiques (Hérodote, Diodore de Sicile . ) qui amplifiaient leurs dimensions. - voies d'eau : aménagement des berges de l'Euphrate (canalisé, traversait Babylone. Appelé « le fleuve d'abondance). -pont sur l'Euphrate : reliait les 2 rives du fleuve (construit/NII) -la porte d'Ishtar : reconstruite plusieurs fois ; -les jardins royaux, « jardins suspendus » (expression de l'époque d'Alexandre le Grand). Architecture élaborée. [...]
[...] BABYLONE, Béatrice André-Salviani Que sais-je ? puf Nulle cité au monde = d'avantage enviée et crainte, dévastée et reconstruite que Babylone à la fin du IIe siècle avt JC. Chaque souverain puissant voulut la conquérir et y laisser son empreinte pour l'embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie. = ville née de la puissance de son dieu suprême, Marduk. Cet aspect cosmologique = à l'origine de toute la conception architecturale et décorative de la ville. [...]
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