Zadig, Voltaire, société française, l'époque des lumières, philosophe, auteur, sentiments envieux, société intellectuelle, questionnement philosophique
Diderot, philosophe des Lumières, a écrit : "Il y a des hommes dont il est glorieux d'être haï". La société française du XVIIIème siècle est très hétérogène. En effet, il y a de nombreuses différences et inégalités entre les riches et les pauvres. Au sein des riches, il y a également de la haine, de la jalousie, des sentiments envieux. C'est notamment ce qu'a mis en avant Voltaire dans son conte philosophique et plus précisément dans son chapitre IV nommé "L'envieux". L'extrait à étudier commence à la ligne 3 "Zadig voulut se consoler par la philosophie" et se termine à la ligne 100 "Zadig commençait à croire qu'il n'est pas si difficile d'être heureux".
[...] En effet, j'ai voulu bien lire et relire l'extrait afin d'être sûr de l'avoir compris. À l'avenir, je tenterai de lire plus rapidement. De plus, il est parfois difficile de se projeter à une époque que l'on ne connaît pas et dans laquelle on n'a pas vécu. Par exemple, le terme et le crime de "lèse-majesté" ne semble plus exister aujourd'hui (j'ai donc utilisé un dictionnaire) et nous ne sommes pas dirigés par un roi. Il est donc difficile de se projeter mais j'ai essayé de me mettre à la place de l'auteur ou du personnage éponyme. [...]
[...] En effet, la maison dans laquelle se trouve Zadig est "ornée avec goût" (ligne de sorte qu'il n'y a pas de place pour le hasard. Il s'agit d'une mise en avant de l'élite de la société française puisqu'il existait au sein du peuple, de nombreuses inégalités. Il est également question de repas, de nourriture et notamment du questionnement relatif à la consommation ou à la non consommation de griffons (lignes 8 à 12). Cette époque renvoie à la période des Lumières. [...]
[...] Finalement, tout ce passage nous a permis de nous interroger sur le bonheur et sur ses conditions. Le bonheur est largement recherché et c'est la raison pour laquelle des haines et jalousies peuvent naître comme celle de Arimaze envers Zadig, toujours à la quête du bonheur. Transition : Ces questionnements philosophiques s'insèrent dans une société guidée par un roi. Une société française guidée par un roi Une société avec à sa tête un roi d'une part et des inégalités d'autre part, peut mener à la naissance de guerres, de haine. [...]
[...] ) sentence" (lignes 67 et 68) Analyse littéraire Introduction Diderot, philosophe des Lumières, a écrit : "Il y a des hommes dont il est glorieux d'être haï". La société française du XVIIIème siècle est très hétérogène. En effet, il y a de nombreuses différences et inégalités entre les riches et les pauvres. Au sein des riches, il y a également de la haine, de la jalousie, des sentiments envieux. C'est notamment ce qu'a mis en avant Voltaire dans son conte philosophique et plus précisément dans son chapitre IV nommé "L'envieux". [...]
[...] Zadig s'entourait de la "société la plus brillante" (ligne 31). Ces personnes ne se laissent pas aller à critiquer ou à se moquer des autres mais tentent de se divertir par la connaissance, par les conversations charmantes. Le terme "savants" revient d'ailleurs à de très nombreuses reprises dans l'extrait. La matière principale sur laquelle se penchent ces savants est la philosophie. En effet, il est fréquemment mentionné le thème du bonheur. D'ailleurs l'extrait se termine, à la ligne 100, par "Zadig commençait à croire qu'il n'est pas si difficile d'être heureux". [...]
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