Une vie, Chapitre 5, Maupassant, Il voulait encore me parler de Dieu, ils m'accueillent avec des cris de haine
Ce passage se trouve à la fin du chapitre 5, Meursault a déjà été jugé et il est condamné à mort. Il est enfermé depuis quelques jours et la liberté commence à lui manquer. Ce passage se passe juste avant qu'il se fasse pendre.
Meursault a été jugé et condamné à mort, le procès ne s'est pas très bien passé pour lui et il est enfermé depuis plusieurs jours. Sa liberté lui manque, il repense à la ville d'Alger, à ce qu'il faisait quand il était libre. Il se rend compte également que fumer et que les femmes lui manquent énormément et qu'il aimerait bien en revoir une avant de mourir.
[...] Ce qui explique qu'il voit la société d'un air si différent que les autres et qu'il ne réagit et ne se comporte d'une façon assez étrangère pour nous. Souvenir de sa mère Meursault est à nouveau calme et il repense à sa mère. Il comprend plusieurs choses par rapport à elle. On s'aperçoit encore une fois qu'il avait une relation assez spéciale avec elle. Il n'avait pas une entente particulière avec elle, mais qu'il l'aimait à sa façon. Cela fait penser à Camus et la relation particulière qu'il avait avec sa mère. [...]
[...] TROISEME PARTIE, CHAPITRE 5 (PARTIE Étude de la veille de l'exécution : Il voulait encore me parler de Dieu ils m'accueillent avec des cris de haine. Situation du passage Ce passage se trouve à la fin du chapitre Meursault a déjà été jugé et il est condamné à mort. Il est enfermé depuis quelques jours et la liberté commence à lui manquer. Ce passage se passe juste avant qu'il se fasse pendre. Evènements précédent le passage Meursault a été jugé et condamné à mort, le procès ne s'est pas très bien passé pour lui et il est enfermé depuis plusieurs jours. [...]
[...] Il ne s'en veut pas de ne pas avoir pleuré durant l'enterrement de sa mère et il dit même que personne n'avait le droit de pleurer surtout pas lui. Il ne regrette pas non plus d'avoir tué l'arabe, parce pour lui peut importer pour quel raison et comment on mourra, puis qu'on devra tous mourir un jour et peu importe la manière. Meursault fini par repenser à sa mère sans tristesse, il est calme et limite heureux. Il envie presque sa mère. Pour finir il espère qu'il sera accueilli par des cris de haine avant de se faire pendre. [...]
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