Analyse d'un poème de Verlaine, "Chanson d'automne", extrait du recueil Poèmes saturniens et de la section "Paysages tristes". Le titre renvoie en effet au titre de la section par l'évocation d'une saison triste : l'automne. Il est question de voir en quoi cette complainte nostalgique peut être considérée comme une chanson, terme présent dans le titre du poème.
[...] Lecture analytique Verlaine chanson d'automne Il s'agit d'un poème de Verlaine, extrait du recueil poèmes saturniens et de la section paysage tristes. Le titre renvoie en effet au titre de la section par l'évocation d'une saison triste l'automne. Il est question de voir en quoi cette complainte nostalgique peut être considérer comme une chanson, terme présent des le titre du poème. I Correspondances. La douleur du poète Dans la strophe 1 le poète exprime sa souffrance. Sa présence se fait sentir par la 1er personne du singulier qui apparaît par le biais de l'adjectif possessif ‘'mon‘' et le pronom personnel ‘'je‘' 10- 12-13) champ lexical de la souffrance, sanglot vers blesse mon cœur vers langueur monotone vers 5-6 ce qui entraîne une souffrance moral. [...]
[...] Changement de temps dans cette strophe avec la présence des occlusives ; r. absence apparente de liens logique entre la strophe 1 et 2. Ici la douceur semble avoir disparue et le poète analyse ses réactions physiques suffocant et blême. Il analyse ses réactions en fonctions du fils du temps qui passe, ‘'sonne l'heure ‘'. Est-ce la dernière heure ?évoque t'il la mort ? Verlaine reste flou. L'enjambement vers 8-9 crée une modification du rythme .Il y a une idée de manquer de souffle. Mais une tentative d'évasion. [...]
[...] Le poète fais allusion au passé, peut être heureux comme remède a sa douleur. Mais la strophe se termine sur un aveu ‘'je pleure‘'→regret, nostalgie, impuissance du poète face a la fatalité. l'heure du départ. L'absence de remède face a la fatalité conduit le poète a ce qui apparaît comme une décision ‘'je m'en vais‘' mais l'expression au vent mauvais montre que ‘'je m'en vais‘' signifie je me laisse aller ou le vent m'amène. Cette idée est confirmée par la comparaison : ‘'pareil a la feuille morte‘'. [...]
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