Fiche de lecture de l'oeuvre d'Erving Goffman intitulée L'arrangement des sexes.
[...] Conclusion Cela peut surprendre mais la plupart des femmes, reste convaincu du bon fonctionnement de leur rôle. Alors qu'en penser ? Cette idée se rapproche énormément de la conception de la famille d'antan C'est sans doutes pour cela aussi que Goffman termine en s'interrogeant : Quelle est la future place de la femme ? Quelle sera la tradition sans la croyance de l'infériorité naturelle des femmes ? et enfin, mais question cruciale : Que mettra en place la société face a cela ? ceci que ce soit pour preserver cet équilibre des sexes ou le changer. [...]
[...] Suite à l'histoire surement, Goffman lui, s'intéresse en particulier à la femme d'aujourd'hui. Il semblerait qu'elle se trouve être moins bien lottie que l'homme, même si cela évolue et se modernise. La galanterie, la courtoisie, la protection peuvent être avantageux, mais tout tend vers une future égalité d'avec l'homme. Erving Goffman ne va pas s'appesantir sur l'inégalité, mais considérer la femme, dans son groupe sociale dévalorisée au sein de la société. Il met en avant un fonctionnement : Les femmes complémentaires à l'homme, sont souvent et avant tous liées à l'homme et cela face aux autres. [...]
[...] Les comportements, mais aussi d'autres choses deviennent parties intégrantes de la culturalité d'une société, il cite par exemple les histoires, qui donnent une illustration intellectuelle. La tendance au biologique est constante, on se refere bien souvent a cette différence, mais sans pour autant mesurer la cohérence objective justifiable. Goffman amorce donc un argument, la biologie science exacte devient donc la doctrine de l'influence biologique Goffman utilise le terme sexualité cette notion est pour lui tout signe qui montre une activité sexuelle (comme l'habillement, ou comment on agit par exemple). [...]
[...] Tout comme dans d'autres de ses oeuvres Erving Goffman va placer des termes, et en expliquer leur sens. Il commence par la naissance d'un enfant, avec le triage il entend par la le determinisme de son sexe déjà qu'il gardera toute sa vie. Cette classification selon lui entraine des attentes conscientisées ou non de la part de ses semblables, donc de la société. Etape après étape dans la durée de sa vie l'individu portera toujours cette même image. Goffman va s'atteler à travailler sur une vision uniquement sociologique, car Male / Femelle est à l'origine d'une compatibilité sociale, voir même selon lui d'une complémentarité, qu'il juge même allant à l' harmonie Cette reconnaissance de l'interactivité des sexes dans la complémentarité est reconnue et imprègne la vie sociale. [...]
[...] Problèmes en fait fonctionnement admis et imuable, accepté par tous les chercheurs. Puis, il met les différences entre hommes et femmes aux yeux du lecteur de manière tout d'abord objective, et récapitulative. Mettant de coté les différences physiologiques, il introduit la notion de reflexivité institutionnelle c'est à dire la capacité de la société a expliquer les représentations mais aussi les agissements à l'égard des sexes. Goffman considère cette pensée novatrice dans ce sens qu'elle se différencie de la doctrine socio anthropologique ancienne. [...]
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