Les projets de Salluste paraissent compromis. L'issue de l'affrontement est inattendu celui qu'on croyait pris au piège, Salluste, réussit à renverser la situation à son avantage, la deuxième surprise est suivi d'un coup de théâtre: l'arrestation de Don César (...)
[...] Mais il a déjà de l'argent, et ne veut pas refaire la même erreur, Salluste est comme pris. Mais non seulement César veut faire scandale mais il appelle des alguazils, Tout est perdu s'il se fait reconnaître C'est alors que Salluste a une idée, d'appeler les alguazils et d'utiliser le mensonge en faisant croire qu'il est matabolos (le voleur) et pour preuve le manteau, qui porte le nom de Salluste, et de même il a les poches pleines d'or . Il a donc rétabli la situation en sa faveur. [...]
[...] Acte IV scène VII et VIII On peut voir une analogie avec la scène 5 de l'acte III. Le retour inattendu d'un personnage, qui vient contrarier les plans d'un autre. Ici de la même façon que Salluste a surpris Ruy Blas, César surprend Don Salluste. Cette fois la surprise est pour lui. Les projets de Salluste paraissent compromis. L'issue de l'affrontement est inattendu celui qu'on croyait pris au piège, Salluste, réussit à renverser la situation à son avantage, la deuxième surprise est suivi d'un coup de théâtre: l'arrestation de Don César. [...]
[...] 1934), alors que César est franc. Il est moqueur, sa colère est joyeuse, il se réjouit à l'avance de se venger (c'est une entreprise amusante) Il se complait dans l'idée de tout déranger, on peut voir sa tout d'abord avec le champ lexical du dérangement : je démolis tout, je patauge cf également faire éclat scandales César a tout de même un esprit clairvoyant en son cousin, il a un pressentiment, vous tramez quelque histoire effroyable Il sent une affaire noire. [...]
[...] Finalement César aurait pu renverser la situation, son arrestation (coup de théâtre) fait s'effondrer les derniers espoirs d'une fin optimiste. Le méchant triomphe, le hasard a travaillé pour Salluste. Sans le savoir César a travaillé pour lui, il a accepté les rendez-vous, il a tué Gunitan. [...]
[...] Mais plus précisément au vers 1971 je sens quelque un en proie à votre trahison Tout cela fait que César qui parle beaucoup montre une énergie offensive opposée à Ruy Blas cf Acte III scène V. César peut apparaître comme un justicier qui va faire renverser les plans machiavéliques de Salluste, il va punir le méchant. Mais ce qui va le perdre c'est que César à la force et Salluste à la ruse. Il est trop franc César, il livre le fond de sa pensée, et n'a pas d'aparté dans une scène, il est trop sûr de lui, de sa vengeance, et trop peureux de dire les quatre vérités à son cousin, il se laisse emporter, il est trop bavard, mais il a bu, mais en tout cas en disant trop franchement sa pensée il fait le jeu de Salluste. [...]
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