le rouge et le noir, Stendhal, roman, amour, passion, classe sociale, tragédie, psychologie sociale, morale humaine, réalisme, mort
Le Rouge et le Noir est un roman psychologique. Stendhal est un écrivain et chroniqueur français du XIXe siècle. Stendhal aurait voulu consacrer sa vie à la rêverie, à la « chasse au bonheur », aux arts et à l'amour ; en vérité, il a eu une vie mouvementée !
[...] « Il tira sur elle un coup de pistolet et la manqua ; il tira un second coup, elle tomba. » Nous pouvons trouver une succession d'actions que Julien mène avec les V d'actions par les tirs que lui-même provoque sur Mme de Rênal. Un euphémisme est présent dans « elle tomba » cela explique que le deuxième coup de feu a atteint sa cible. Conclusion Nous pouvons en conclure que cet extrait est un ensemble d'actions successives tellement soudaines qu'il s'agit d'une réaction en chaîne. [...]
[...] > « Couvert par une apparence de désintéressement et par des phrases de roman » > le 1er COD « par une apparence de désintéressement » nous montre qu'à première vue, les personnes qu'il borne ne peuvent savoir qu'il a des intérêts dans ce qu'il cherche à faire. Le 2ème COD « par des phrases de roman » nous montre qu'il s'agit d'un grand parleur, qui utilise son don en éloquence afin de s'attirer des faveurs à l'insu de tous. > « son grand et unique objet est de parvenir à disposer du maître de la maison et de sa fortune » > hyperbole qui souligne son seul et unique dessein qui est le pouvoir de faire ce qu'il souhaite. [...]
[...] - Annonce du plan - (lignes 1 à 10) : A l'origine de cette réaction en chaîne : une lettre de dénonciation virulente - II) (lignes 11 à 22) : La tension s'accentue avec la mise en action de Julien : un personnage au tempérament romantique et déterminé - III) (lignes 23 à 34) : le dénouement tragique : Julien cherche à se venger et à détruire celle qu'il a aimée I. À l'origine de cette réaction en chaîne : une lettre de dénonciation virulente (lignes 1 à 10) > « Pauvre et avide » > ces deux adj péjoratifs nous montrent que le portrait de Julien est négatif et qu'il est critiqué > « c'est à l'aide de l'hypocrisie la plus consommée » > le présentatif « c'est » sert à amplifier la révélation. [...]
[...] Le résultat de ces actions à amener Julien à tirer sur Mme de Rênal au sein même d'une église, qui est une bâtisse religieuse et un havre de paix donnant un caractère blasphématoire au texte. [...]
[...] > « La vue de cette femme qui l'avait tant aimé fit trembler le bras de Julien d'une telle façon, qu'il ne put d'abord exécuter son dessein. » Je ne le puis, se disait-il à lui-même ; physiquement, je ne le puis. » > Nous pouvons trouver un regard omniscient du narrateur, l'acte que Julien veut exécuter est compliqué pour lui avec l'hyperbole qui nous montre son stress extrême. B. Le passage à l'acte une action irréversible (l30 à 33) « Julien ne la reconnaissait plus aussi bien »> ici cette phrase nous montres l'esprit de Julien qui semble être dégrader avec la neg partielle, il est confus à cause de l'action qu'il va faire/ commettre. [...]
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