Le 1er quatrain est empli d'insouciance : jeunesse, beauté et description d'un jardin. On peut distinguer les caractéristiques de :
- la jeunesse : moi de mai, personnification de la rose (v.2) car jeunesse = vocabulaire humain, parallélisme v 2 et v9 Fleur/Femme (...)
[...] Mais les roses sont aussi éphémères La chute du poème La mort est mise à part, entre virgules. Le mot rose termine le poème. Il dit la métamorphose du corps de Marie. Le désir devenu réalité. Ronsard donne l'immortalité à Marie, grâce aux mots et à la métamorphose. C'est un texte " païen " qui utilisent des références à l'antiquité, comme le désir de retrouver l'immortalité pour la personne aimée. [...]
[...] - la mort arrive brutalement v11. Des sonorités dures, mais une image d'apaisement, " repose " - la mort renouvelle le parallélisme. Le deuil revient avec les " pleurs " ( cf. l'Aube . v4) Vocabulaire du deuil : " obsèques " larmes " pleurs " Vocabulaire de la mort : v14 utilisation du participe passé. II - La transfiguration de la mort Le symbolisme des offrandes larmes et pleurs " remplacées par " lait et fleurs " - rapprochement des deux vers liquides : lait et larmes mots quasi identiques : fleurs et pleurs Les signes de mort sont remplacés par ceux de la vie. [...]
[...] Ils avaient tous en commun le désir d'enrichir la langue française. Sa vie fut marquée en particulier par 3 femmes qui sont Marie, Cassandre et Hélène, pour lesquelles il écrivit beaucoup. On retient d'ailleurs le recueil des sonnets à Hélène. Il composa ses poèmes surtout sur le thème de la fuite du temps, de l'expression des sentiments Ce texte est un sonnet, en alexandrin, mais avec une particularité des rimes, propre à Ronsard : ce sonnet n'est ni italien ni français. [...]
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