Lorsque Rimbaud compose ce poème, il cherche à plaire aux parnassiens, il reprend donc une grande figure mythologique idéaliser puis adapter au gout de ses contemporains. Ophélie trouve sa source dans la saga islandaise populaire du XXe. Une 1ère version anglaise est écrite à Londres en 1580, et Shakespeare rédige sa pièce en 1601.
Le père d'Hamlet est assassiné par son oncle Claudius, ce dernier cherche à éliminer Hamlet. Hamlet feinte alors la folie afin d'être épargner par les assassins de son père. C'est à ce moment là qu'Hamlet nie son amour à Ophélie et lui conseille d'entrer au couvant. Ophélie pleine de désespoir se noie. Hamlet parvient finalement à tuer le roi avec une épée empoisonnée. Nous verrons comment Rimbaud renouvelle la réécriture du mythe (...)
[...] Nous verrons comment Rimbaud renouvelle la réécriture du mythe. Un tableau romantique : Ophélie dans la nature Il s'agit d'un poème composé de 9 quatrains en alexandrins avec des rimes croisés et numérotation identique à celle d'un roman (chapitre). Le poème a l'allure d'une complainte musique triste avec évocation de la mort d'une personne chère). En raison de sa structure, alexandrins, répétition des quatrains, rimes croisées et de son thème, la mort d'Ophélie. La 1ère partie fait penser à la description d'un tableau, on retrouve de nombre point commun avec le tableau que Millais a réalisé en 1852. [...]
[...] Une 1ère version anglaise est écrite à Londres en 1580, et Shakespeare rédige sa pièce en 1601. Le père d'Hamlet est assassiné par son oncle Claudius, ce dernier cherche à éliminer Hamlet. Hamlet feinte alors la folie afin d'être épargner par les assassins de son père. C'est à ce moment là qu'Hamlet nie son amour à Ophélie et lui conseille d'entrer au couvant. Ophélie pleine de désespoir se noie. Hamlet parvient finalement à tuer le roi avec une épée empoisonnée. [...]
[...] La nature est devenue bruit et fureur, elle est aspirée et guidée par les tourments de la liberté. Le poète termine dans le chapitre 3 et le 2 par une image très présente dans l'ensemble de son œuvre, celle de la neige et du feu. Le poète reste avec sa parole dans le dernier chapitre et sur l'idée qu'Ophélie vient cueillir ses fleurs aux étoiles ce sont des images poétiques qui annoncent une saison en enfer. Conclusion Rimbaud prend les racines de son poème dans l'univers romantique, mais tente par son écriture de rester fidèle aux Parnasses, quand il reprend le mythe du drame d'Hamlet avec l'image d'Ophélie couronnée de fleurs qui décide de ce noyer. [...]
[...] On a une nature en commun avec cette belle morte. On assiste donc a une chanson triste de la nature qui déploie une berceuse funèbre. On observe également une assonance en et une allitération en Une vision poétique Rimbaud entreprend une réécriture du mythe d'Ophélie, il en donne sa version ex : v9 où Ophélie est un fantôme qui se mue (transforme en fleur avec l'histoire la corolle puis dans la suite du poème, il s'adresse directement à elle v.18 tu Rimbaud prête à Ophélie ses propres aspirations : la liberté dans le chapitre 2 ; vers 20, la nature v.23. [...]
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