- On peut remarquer que dans le texte, la nature est personnifiée.
- Au vers 1, on retrouve un verbe d'action pour décrire un élément naturel.
- Le verbe d'action "chanter" a pour effet d'insister sur la beauté du décor et la joie susciter par le décor.
- On peut apprécier la présence des adjectifs qualificatifs et d'adverbes généralement utilisé pour décrire les sentiments humains : l'anthropomorphisme (...)
[...] Cette alliance de terme est particulière car ce mélange donne un aspect irréel au texte. Petit à petit, la description de cette nature disparaît au profit de la lumière du soleil. On peut donc penser que le soldat est mort et sue son âme subit une ascension vers le soleil se qui contribuent une fois de plus à une ascension surréaliste. On peut remarquer que cette nature magnifique sert métaphoriquement de linceul. I.c. : Portrait de soldat Le soldat est vu comme une personne extérieure. Il s'agit de Rimbaud qui l'observe. [...]
[...] Rimbaud fait un blâme des comportements humains. C'est la raison pour laquelle il implore la nature. L'impératif montre la tristesse de l'auteur et sa détresse. En effet, il demande à la nature de devenir la mère nourricière. Il implore la nature comme si l'homme et la nature était liée. Les deux quatrains parlent de la nature comme berceau du soldat et les deux tercets parlent de la nature en tant que tombeau. Le titre est euphémisme car le dormeur signifie le cadavre et le val signifie le tombeau. [...]
[...] Rimbaud s'adresse directement à la sensibilité du lecteur. Cette mort contraste avec la beauté de la nature toute entière. Conclusion générale : En définitif, on peut remarquer l'importance du thème de la nature qui est décrite comme étant magnifique et presque irréel, protectrice envers ce jeune soldat et pourtant totalement impuissante face à la violence de la guerre et de la mort. Rimbaud a choisit de nous montrer cette mort dans un cadre idyllique. Il est évident que cette description est faite pour provoquer un choc, mettre l'accent sur le scandale de la mort. [...]
[...] Le dormeur du val d'A.Rimbaud Introduction : Rimbaud poète du 19eS, écrit son œuvre en peu de temps. Son œuvre la plus connue est le dormeur du val extrait de son premier recueil poésie du second cahier de Rimbaud et il paraît en 1888. Pour le contexte et la para texte, Rimbaud a été influencé par la guerre de 1870 ( Prusse France Rimbaud fortement influencé par la mort d'un soldat, décrit une nature omniprésente, agréable pour contraster cette mort. [...]
[...] Rimbaud essaye de maintenir le suspens. Tout au long du poème, la mort est omniprésente et progressive. II.b. : La mort explicite Dans les deux tercets, on remarque que la mort est plus évidente. Même si elle n'y est annoncer que dans le dernier vers. Il faut voir ce poème comme un décrescendo de la vie à la mort. Le verbe dormir est répété mais de manière explicite. Quand il est explique : les pieds dans les glaïeuls, il dort la pose est une pose funéraire. [...]
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