Il s'agit d'un commentaire de texte sur le monologue de Bérenger du Rhinocéros d'Eugène Ionesco.
Il analyse le texte sur le monologue final de Bérenger, ensuite, le problème d'identité de Bérenger.
[...] 15-16 p. 279), "Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu'au bout Je ne capitule pas " (l.19-20 p.279). Le monologue final étant le monologue délibératif explique les émotions, le problème d'identité, les doutes que Bérenger est face à lui-même : être rhinocéros ou être humain. Bérenger regrette de ne pas suivre plus tôt ses camarades qui étaient infectés car il ne pourra pas se transformer. Malgré l'échec, il a décidé de lutter, seul, contre les rhinocéros pour son humanité. [...]
[...] Il a des doutes s'exprimant dans un registre tragique, en effet, on observe la présence de phrases exclamatives : "J'ai eu tort Oh " (l. 17-18 p. 278), "Je ne vous suivrai pas, je ne vous comprends pas " (l.1-2 p.277), "J'ai trop honte " (l.12 p.179) . Ces phrases expliquent la panique et l'angoisse de Bérenger. Bérenger utilise la répétition de l'adverbe "jamais" et une interjection marquant le regret "hélas" : "Hélas, jamais je ne deviendrai un rhinocéros, jamais, jamais Cela signifie qu'il ne pourra pas rejoindre les autres personnages. On trouve aussi d'autres répétitions : "C'est moi, c'est moi." 10-11 p. [...]
[...] Il essaie de se transformer en un rhinocéros en l'imitant : "Ahh, ahh brr Non, ce n'est pas ça ( . ) Ahh, ahh, brr ( . (de l.33 p à l.2 p.279). On trouve une des phrases nominales de Bérenger : "Trop tard maintenant " (l.7 p.279). Dans le monologue final, on trouve que Bérenger fait plusieurs actions, par exemple : "Il se précipite vers un placard ( . p. 278), autre exemple : "Il ferme soigneusement les fenêtres" (l.32-33 p. [...]
[...] Il est seul, perdu, hésitant et anxieux face aux rhinocéros : "Daisy, ne me laisse pas tout seul " (l.16 p. 276), "Je suis tout à fait seul maintenant" (l.23-24 p.276), "Je ne vous suivrai pas, je ne vous comprends pas " (l.1-2 p.277). Avant d'imiter le rhinocéros, "Si je pouvais faire comme eux" (l.32-33 p.278), "Je n'arrive pas à barrir" p.279) ; ces phrases expriment le regret de Bérenger pour être humain. On trouve la présence du champ lexical du corps humain : "front", "traits", "peau", "mains", "poilu", "corps". [...]
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