Les Rêveries du promeneur solitaire, Jean-Jacques Rousseau, introspection, société, destin, nature, maturité
Les Rêveries du promeneur Solitaire est le dernier ouvrage de Jean-Jacques Rousseau non terminé et qui montre son état d'esprit peu de temps avant sa mort. À travers cet ouvrage qui retrace les promenades de Rousseau, on comprend son évolution dans le retrait social. Dans les moments d'exaltation de ses promenades, Rousseau a décidé de prendre la plume. Au jour le jour et arbitrairement, affranchi des règles conventionnelles, il prélève souvent des événements qu'il vit à travers les méditations auxquelles il est s'adonne, les souvenirs qui lui reviennent. Ainsi, il aborde beaucoup les sujets liés à la morale, au mensonge, cependant ce qui est important ici est ce qui a été la cause de sa souffrance. Ce désarroi provient du fait qu'il a été rejeté par ses pairs et qu'il n'a pas reçu la reconnaissance qu'il tenait pour acquise. En conséquence, il n'écrit plus pour les autres, mais pour lui-même. Après des années à lutter contre les pensées des autres, il accepte son sort.
[...] Rousseau a abandonné l'idée qu'il avait encore besoin d'être avec d'autres personnes. Enfin, dans la solitude spontanée, il retrouve le calme qu'il a perdu dans sa vie sociale. Il quitte la société pour se concentrer sur un projet qui l'intéresse toujours : l'introspection. Second Paragraphe Première idée : (idée énoncée) Ainsi l'introspection de Jean-Jacques Rousseau se fait par des promenades hors de Paris dans la campagne plus proche de la nature et sur l'île Saint Pierre où il séjourne deux mois. La nature aide Rousseau à se sentir mieux. [...]
[...] Première idée : (Idée énoncée) Dans sa première promenade, Jean-Jacques Rousseau explique comment il en est arrivé à ce point précis de sa vie par rapport aux individus qui le critiquent sans cesse sur ses idées. (explications) Il sent que ses forces physiques et mentales s'affaiblissent lentement, et que son imagination décline également. Ainsi, il montre une certaine paranoïa envers ses « ennemis »Il se souvient du « complot » dont il se considère comme victime, et dans une sorte de paranoïa il se rend compte que sa peur n'est pas partie, qu'il en est toujours hanté et qu'il a simplement accepté son destin. [...]
[...] Les Rêveries du promeneur solitaire - Jean-Jacques Rousseau (1782) - Comment Rousseau s'épanouit-il en retrait de la société ? Les Rêveries du promeneur Solitaire est le dernier ouvrage de Jean-Jacques Rousseau non terminé et qui montre son état d'esprit peu de temps avant sa mort. A travers cet ouvrage qui retrace les promenades de Rousseau, on comprend son évolution dans le retrait social. Dans les moments d'exaltation de ses promenades, Rousseau a décidé de prendre la plume. Au jour le jour et arbitrairement, affranchi des règles conventionnelles, il prélève souvent des événements qu'il vit à travers les méditations auxquelles il est s'adonne, les souvenirs qui lui reviennent. [...]
[...] Enfin, dans cet ouvrage on observe une vision philosophique du bonheur, proche de la contemplation, à travers un relatif isolement, une vie tranquille, et surtout, une relation avec la nature, développée à travers les promenades, la contemplation pratiquée par Rousseau. De plus, si Rousseau prétend qu'il n'écrit que pour lui-même, la façon dont il tourne son récit montre qu'il écrit pour un public potentiel, il essaie d'évoquer l'empathie du lecteur. Ce récit est symptomatique d'une nouvelle manière d'écrire, en effet il s'agit d'un récit d'introspection à valeur en partie autobiographique, il n'y a pas de portée religieuse dans ce récit. Cet ouvrage est précurseur d'un nouveau mouvement centré sur l'individu. [...]
[...] Il peut également s'adonner à son interet de la botanique, en contemplation « J'entrepris de faire la Flora petrinsularis & de décrire toutes les plantes de l'Île sans en omettre une seule, avec un détail suffisant pour m'occuper le reste de mes jours. » Seconde idée : Enfin, la maturité permet a Rousseau de s'épanouir hors de la société, d'accepter sa situation. (explications) Selon Jean-Jacques Rousseau, la quarantaine représente le milieu de la vie, un tournant qui est aussi éloigné de la naissance que de la mort, un seuil au-delà duquel tout engagement est définitif, où il n'y a pas de retour en arrière. [...]
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