Velasquez : journée 18 à 25 – 37, 38, 39, (41,45), Manuscrit trouvé à Saragosse, Potocki, Alphonse Van Worden, Rebecca, Pèdre
La première apparition de Velasquez a lieu lors de la 18ème journée. Alphonse Van Worden se rend à la potence de Los Hermanos et y trouve un homme allongé. Il le réveille avec de l'eau froide, s'ensuit une course poursuite qui se termine par la chute de Velasquez, blessé à la tempe. Van Worden le ramène finalement au camp. Lorsque Van Worden fait le récit de la course, Velasquez témoigne immédiatement de ses connaissances en géométrie.
[...] Folencour arrive ainsi à convaincre Enrique et ce dernier l'invite à apprendre à son fils ces deux danses, et le rendre semblable à un seigneur de la cour de France. A la fin de la 23ième journée, Pèdre fait état d'une conversation qu'il a surprise entre son père et le père de sa femme ( Cadanza, le lieutenant de roi de Ceuta). Cadanza évoque des affaires secrètes qui se transmettent dans la famille des Gomelez, leur sang, qui coule aussi dans les veines de Pèdre. Après avoir entendu cette conversation Pèdre et fut obsédé par elle presque toute la nuit, avant la leçon que doit lui donner Folencour. [...]
[...] Néanmoins leur relation n'est pas symétrique, Blanche l'aime par amour et amour- propre alors que lui l'aime par tendresse. Aussi Enrique un jour ressent le besoin que don Carlos participe et complète ce bonheur. Un jour don Enrique reçoit une lettre. Le roi a entrepris de fortifier les défenses du royaume et il sollicite les esprits les plus éclairés à rendre une étude sur les systèmes de Vauban et de Coehoorn. Pendant un an don Enrique s'attelle à cette tâche. [...]
[...] Manuscrit trouvé à Saragosse, Potocki : Résumé de l'histoire de Velasquez : journée 18 à 25 (41,45) Journée 18 La première apparition de Velasquez a lieu lors de la 18ème journée. Alphonse Van Worden se rend à la potence de Los Hermanos et y trouve un homme allongé. Il le réveille avec de l'eau froide, s'ensuit une course poursuite qui se termine par la chute de Velasquez, blessé à la tempe. Van Worden le ramène finalement au camp. Lorsque Van Worden fait le récit de la course, Velasquez témoigne immédiatement de ses connaissances en géométrie. [...]
[...] Puis il fait le constat de sa vie présente : l'esprit affaibli, une femme présente uniquement dans son cœur, mais un intérêt pour le développement de l'esprit humain, des connaissances intellectuelles et ainsi une vie qui n'est pas ennuyeuse. Ensuite il rapporte les propos d'Alvarez sur son frère Carlos. Ce dernier, pour qui Enrique a de la compassion, a un comportement qui ne le rend pas heureux. Dès que Carlos tente d'élever sa condition chaque fois ses capacités réelles s'avèrent insuffisantes pour garder sa place. Aussi est-il sujet à l'ennui, à un égoïsme qui le rend dépressif et incapable de jouir pleinement de la vie. [...]
[...] Puis un soir, le lieutenant de roi de Ceuta vient le voir et lui dit que sa fille (Ines de Cadanza) a de la peine pour lui. Il les fait se rencontrer, ils se plaisent et se marient. Dix mois après le mariage, Pèdre nait. Enrique fait le vœu de ne pas apprendre les mathématiques à son fils pour qu'il ne souffre pas comme lui ; il se décide à lui apprendre uniquement la sarabande. C'est bien sûr ce qui n'arriva pas, et Pèdre dans la fin de la 19ième journée entreprend pour illustrer ses connaissances un exposé sur l'étude du mouvement de la danse. [...]
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