Analyse de la préface de l'oeuvre de Racine intitulée Iphigénie inspirée de la figure mythologique éponyme.
[...] Ce mythe a été traité par Euripide, reprise par Racine, puis Quinault. Il les écrits pour des opéras écrits pour Lully. La tragédie rivalise avec l'opéra (danses, musiques, décors Cela plait énormément aux gens. Ils adaptent le mythe d'Alceste. Ils font partie des Modernes. Perrault dit que ce qu'a fait Quinault est meilleur qu'Euripide. Racine dit que ce ne sont pas des critiques fondées. Il défend les Anciens. Alceste est une jeune femme avec de jeunes enfants. Racine veut concurrencer l'opéra par la galanterie. [...]
[...] C'est une conduite nationaliste. Eriphile est la figure étrangère. Racine emploi race au lieu de peuple, cela crée un affrontement entre deux peuples : Dans Iphigénie, ce sont les Grecs contre les Troiens. Eriphile accepte de se sacrifier pour un motif nationaliste. Dans Phèdre, ce sont les Grecs contre Hippolyte. Il est né d'une mère étrangère, elle était une amazone. Dans Esther, Ce sont les Juifs déportés à Babylone contre les Perses qui sont les païens, les infidèles. Dans Athalie, il s'agit de Joas contre Athalie. [...]
[...] Cela se termine bien pour Iphigénie. On a beaucoup critiqué Racine sur ce point. Il y a une allusion aux larmes dans cette préface. Le succès d'une tragédie était vu par le nombre de larmes versées par les spectateurs. Il y a également de la galanterie dans les pièces de Racine qui lui vient des romans contemporains (romans idéalistes) comme Astrée d'Honoré d'Urfé. C'est un roman précieux et héroïque où le personnage est un héros magnanime. Il y a des auteurs féminins. [...]
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