La princesse de Clèves, Mme De Lafayette, écrivain progressite, mère agonisante, vertu, monsieur de Nemours
Au 17ème sicèle, la société française est particulièrement misogyne.
La femme est, à l'époque, enfermée dans "la prison de la vertue" : elle se doit d'avor un attitude irréprochable et être obéissante. Mme De Lafayette est une écrivain de la fin du 17ème siècle qui est progressite. Elle écrit son roman, La Princesse de Clèves, en secret et sous un faux nom car, à l'époque, le roman est vu comme un bas style d'écriture. Ce roman conte l'histoire de Mme de Clèves, qui a seize ans et qui se marie de force à un homme qu'elle n'aime pas. Elle tombe amoureuse de M. De Nemours, mais ne peut le voir, car obligée d'être vertueuse.
[...] La princesse de Clèves, Mme De Lafayette Introduction : Au 17ème sicèle, la société française est particulièrement misogyne. La femme est, à l'époque, enfermée dans "la prison de la vertue" : elle se doit d'avor un attitude irréprochable et être obéissante. Mme De Lafayette est une écrivain de la fin du 17ème siècle qui est progressite. Elle écrit son roman, La Princesse de Clèves, en secret et sous un faux nom car, à l'époque, le roman est vu comme un bas style d'écriture. [...]
[...] Ce serait déshonorer sa défunte mère que de ne pas lui obéir. Champ lexical de la chute : "péril" L5, "précipice" L11, "malheur" L21, "tomber" L Elle dresse un triste tableau pour sa fille. - Mais elle lui présente une solution pour contrer cette chute, ce malheur qui serait engendré par sa passion pour M. De Nemours, avec le champ lexical de l'effort : - "grands efforts", "grandes violences", "trop", répétition de "grand" et gradation (termes de plus en plus forts). [...]
[...] - A la fin, on nous dit que Madame de Clèves était "la seule chose à quoi elle (Madame de Chartres) se sentait attachée". Un moment pathétique -Ce moment est pathétique car Madame de Chartres emporte la liberté de sa fille dans sa tombe. -C'est un vrai adieu, L25 : "Adieu ma fille" - verbe "attendrir" L25 qui souligne l'émotion des deux parties, on compatis pour les deux femmes. - L23, Mme de Clèves "fond en larmes", elle s'éffondre. Les marques de sentiment sont peu nombreuses mais très fortes. [...]
[...] L'impression principale se dégageant du texte est que c'est un moment solenell, intime et pathétique. Cependant, ce sont cette intimité, cette solennelité et ce pathétique qui renforcent le discours de la mère, ils sont presque des arguments à part entière pour obliger Madame de Clèves d'obéir à sa mère. On peut donc dire que le discours d'une mère agonisante impose la vertu de par ces trois caractéristiques : la solenellité, l'intimité et le pathétique. Ouverture : On peut ouvrir sur l'Olympe de Gouges, qui était une femme ayant une avance phénoménale sur son époque. [...]
[...] La vertu de la mère doit se transmettre à la fille. Vertu (ligne décrit la mère et se transmet à sa fille Vertu (ligne 18) Madame de Chartres se montre indispensable à sa fille : "Le besoin que vous avez de moi" L6, "vous conduire" . Un jeune fille sans liberté Un champ lexical des contradiction de la fille est bien présent : "vertu" L3, "piété" L3, "réputation" L14, "sincérité" L18, "courage", "devoir", "force", "devait" L13 Idéal élitiste Madame de Chartres ne veut pas que sa fille devienne comme les autres jeunes filles, elle veut qu'elle soit supérieur par la vertu. [...]
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