On constate qu'il y a un écart dans la structure. En effet, le rentrement est étendu. C'est une faute apparente dans la structure de ce rondeau.
Il n'y a pas de différence entre les deux strophes. La deuxième est un discours. Sémantiquement, les deux « coquardeau » sont pareils (...)
[...] Il parle de l'amour ardent. Dans ce poème, le mot feu a trois significations différentes : Le feu par rapport à l'eau. Il s'agit dans ce cas d'un discours anti- amoureux. Il faut de l'eau pour éteindre le feu. Marot se moque du discours populaire amoureux. Le poète se dissocie de l'objet. L'amoureux casse les oreilles. Marot multiplie les rentrements, cela devient ridicule. Il faut appeler les pompiers. Le discours se retourne contre l'amoureuse. Qu'Amour le punisse, s'il vous quitte. [...]
[...] C'est une faute apparente dans la structure de ce rondeau. Il n'y a pas de différence entre les deux strophes. La deuxième est un discours. Sémantiquement, les deux coquardeau sont pareils. Toutefois, il y a une différence de locuteur. La première fois, il s'agit d'une proposition. Il faut prendre ce poème au sens figuré. Il faut identifier le destinataire comme un mauvais poète. La seconde fois, c'est oral. Cela devient un slogan. Il met l'accent sur le locuteur. Il faut crier le slogan. [...]
[...] Glose = sens du poème Marot glisse des subtilités dans les rentrements. Il renvoie l'autre à sa nullité. Cervelle = manque de bon sens, matière. Cerveau = ce qui pense, l'organe qui produit des idées. Il s'agit ici d'une hyperbole. Il y a une rime : glose, chose, j'ose. Il faut le prendre au sens littéral. Ce poète n'est qu'un veau. Cela signifie : j'ose dire la même chose. Cela revient à dire que ce type est un veau, c'est un intensificateur. [...]
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