La Peste, texte 4, Albert Camus, passage, enjeux du roman
Champ lexical du cri, le cri symbolise l'enfant, c'est une synecdoque. Ce cri est déjà un échec, car ce cri montre que l'enfant ressent la souffrance. Ce cri est également pathétique, car il établit une communication entre les malades « autour de lui », « de plus en plus fort », « la marée de sanglot » = métaphore et c'est la nature qui crée cela et l'homme ne peut pas la contrôler. « Tous ces cris se répondre en échos » ça montre bien la correspondance entre les diffèrent malades. Dans ces conditions le silence est presque espéré, car il apparait comme un soulagement pour les personnages et les lecteurs. On a ensuite le retour au calme « faiblir, venais de s'achever »… Champ lexical du calme, la torture est achevée.
[...] Celui-là au moins, était innocent : ça montre que même les innocent meurt. De plus il le vouvoie donc il le met en face des responsabilités d'homme d'église et d'homme tt cours, ça montre que son hypothèse est fausse ! Le au moins casse tt la conception religieuse de paneloux. Ça montre que ça fait un moment qu'il veut dire à paneloux qu'il est en désaccord avec son prêche. RIEUX GAGNE La recherche de l'apaisement : 1ère étapes : il parle le plus loin possible de la mort de l'enfant dans la cour : se mettre à l'écart 2ème étape : il reprend conscience, il se concentre sur son corps sueur yeux = pour dénouer = dénouer la souffrance qui est ne lui et qu'il l'empêche d'être un médecin. [...]
[...] Dans ces conditions le silence est presque espéré, car il apparait comme un soulagement pour les personnages et les lecteurs. On a ensuite le retour au calme faiblir, venais de s'achever Champ lexical du calme, la torture est achevée. La mort La mort est atténuer par des euphémismes qui cache la réalité brutale de la mort et à coté on a des détails qui rappelle qu'il est mort dans une souffrance absolue des restes de larmes la bouche ouverte il criée et on a l'impression que le cadavre est rigide il n'a pas eu le temps de soupirer. [...]
[...] Nous somme ensemble Malgré les différences. Pour Rieux c'est l'action qui compte, peu importe qui l'aide, il est pragmatique. Cette union et aussi symbolisé par les gestes assis sur le même banc ils se lèvent en même temps ça montre qu'ils sont de nvx unis dans le même combat mais c'est quand même rieux qui est poli car il dit c'est dieux qui . mm si il n'en croit pas L'union se fait pour l'homme C'est le dernier débat : paneloux défend le salut de l'homme cad après la mort alors que pour Rieux il faut assurer la santé de l'homme. [...]
[...] Il n'arrive pas à accepter. Comme c'est lui qui a pris la décision de tester le sérum, il réagit mal et durement car il se culpabilise II. Le conflit ouvert : Paneloux a la bonne attention de calmé rieux : allons docteur il lui rappelle son métier et il y a une sorte de politesse, de gentillesse mais c'est comme une humiliation. Rieux pour la 1ère fois est violent, on a un chp lex. Qui qualifie Rieux : ah ! [...]
[...] C'est Rieux qui a pris la décision de tester le sérum avec l'enfant, il va mettre très longtemps à mourir (une journée) et c'est le passage le plus douloureux lire. C'est un texte qui ressemble à un texte de théâtre on ne peut donc pas trop se séparer du plan du texte. Problématique : comment ce passage résume-t-il les enjeux du roman ? I. L'agonie d'un innocent II. L'opposition entre Rieux et Paneloux III. Le sens de l'existence donné par ce passage Le cri de l'enfant Champ lexical du cri, le cri symbolise l'enfant, c'est une synecdoque. [...]
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